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Accesibilité..... des cabinets médicaux ,c'est pour "demain"

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 trois ans de plus pour rentrer dans le rang, mais pas de dispenses supplé

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mentaires.


           Pour le reste, il faudra attendre courant novembre pour connaître les normes définitives, dont certaines devraient tout de même être simplifiées.

          Pour l’heure, la publication de l’ordonnance donne le coup d’envoi de l’année impartie pour déposer son Agenda d’Accessibilité Programmée (Ad’Ap) qui programme les travaux sur trois ans, date limite pour la mise en accessibilité : en pratique, ces formalités devront donc être effectuées avant la fin septembre 2015.

 

Plusieurs cas de figure se présentent selon la situation du médecin.

 

 Le plus favorable concerne bien sûr les praticiens dont le cabinet est déjà accessible.

Ils ont jusqu’au 1er mars 2015, pour envoyer une attestation sur l’honneur de l’accessibilité.

 

Si le cabinet n’est pas aux normes, il faut, en revanche, déposer un Ad’Ap, en mairie ou en préfecture, qui détaille les travaux à réaliser sur trois ans et le financement…qui reste à la charge du professionnel.

 

Les demandes de dérogations se font dans l’Ad’Ap. Il faut donc, dans ce cas de figure aussi, déposer son dossier dans les 12 mois, comme pour les autres cabinets.

 

Plusieurs situations peuvent entraîner des dérogations et dispenser d’une mise aux normes.

 

Vous n’êtes pas concernés par des travaux si votre cabinet se situe dans un bâtiment ou une zone classée au patrimoine,s’il existe une impossibilité technique à réaliser des travaux, ou s’il y a une disproportion manifeste de leurs coûts.

 

Ce dernier cas s’applique si le montant des travaux risque de mettre en danger la viabilité économique de l’entreprise.

 

 À charge pour chacun de prouver cette disproportion… et pour une commi

ssion ad hoc de trancher.

 

Une quatrième dérogation a été ajoutée à l’ordonnance aux trois déjà existantes.

Si la copropriété s’oppose aux travaux d’accessibilité sur les parties communes, la dispense est automatique.

 

Cette excuse ne vaudra pas, en revanche, pour ceux qui voudraient ensuite reprendre le cabinet, qui devront prouver qu’ils ne peuvent pas s’installer ailleurs ou choisir un autre cabinet.

 

Dernier cas de figure, si vous partez à la retraite dans les 12 prochains mois, vous n’êtes pas tenu de déposer un Ad’Ap. Il faudra seulement de signaler au préfet votre départ à la retraite.

Pour toutes ces démarches, le ministère met en avant une volonté de simplification et d’information.

 

Sur le  site officiel de l’accessibilité, un outil d’autodiagnostic devrait permettre prochainement, pour les cabinets médicaux, de télécharger un diagnostic des travaux à effectuer.

 

          Le document qui fait office d’Ad’Ap, l’imprimé CERFA 13824*03, sera téléchargeable début novembre et pourra être déposé à partir du 1er janvier et jusqu’à octobre 2015 donc.

 

            Le dépôt du dossier suspend le risque de sanctions pour les trois ans à venir. Pour les autres, ils s’exposent à une amende de 45 000 euros.

 


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Qu’est-ce qu’un agenda d’accessibilité programmée ? 

 
L’Agenda d’Accessibilité Programmée (Ad’AP) permet à tout gestionnaire/propriétaire d’établissement recevant du public (ERP) de poursuivre ou de réaliser l’accessibilité de son établissement après le 1er janvier 2015.
          En effet, le 1er janvier 2015 qui était la date limite pour rendre accessibles les commerces, les cabinets libéraux, les mairies, les écoles..., demeure.
          Toutefois, l’élaboration d’un Agenda d’Accessibilité Programmée permet de se mettre en conformité et surtout d’ouvrir à tous son commerce, ses bureaux...

         L’Agenda d’Accessibilité Programmée correspond à un engagement de réaliser des travaux dans un délai déterminé (jusqu’à 3 ans, sauf cas très particuliers), de les financer et de respecter les règles d’accessibilité.

         Le dossier d’Ad’AP doit obligatoirement être déposé avant le 28 septembre 2015 à la mairie (ou dans des cas particuliers auprès du Préfet).

 


 

source : http://www.developpement-durable.gouv.fr/Qu-est-ce-qu-un-agenda-d.html


Jeudi 6 Novembre 2014 : séminaire MédiStory pour secrétaires

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JEUDI 6 Novembre 2014

 

12 ème séminaire  pour les secrétaires des Cabinets Médicaux

ROI ARTHUR - 56 _PLOERMEL - centre Bretagne

UNE  journée - 9 h 00  à 18 h 00

    

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                           Logiciel de gestion de cabinet médical

prérequis : MédiStory 3.4

 

Pré-programme :

Le médecin est en visite d'urgence ....

il a besoin d'éléments du dossier médical

Quoi, comment lui "adresser" les éléments pertinents .

 

Objectifs

Saisir les éléments ( synthèse ...) et les mettre dans un document de transmission

Savoir utiliser les outils de transmission : courriel,applications ...

Savir récupérér, classer et titrer les éléments issus de la visite d'urgence

 

 

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  Inscriptions et informations CMSB
contact  employeurs

Courriel  Sécrétariat (contact pour secrétaires )

 

Formation prise à l'initiative de l'employeur :

l'inscription doit être demandé par celui-çi - possibilité de prise en charge par organisme de formation  OPCA PL-ACTALIANS


L’OPCA PL collecte et gère les contributions versées par les entreprises libérales au titre de la formation professionnelle. Il finance la formation des salariés et accompagne les entreprises et leurs salariés dans le développement de leurs compétences.

 

Télécharger les documents utiles pour la prise en charge

sur le site de l'OPCAPL-ACTALIANS


le programme et  la convention seront fournis lors de l'inscription validée aprés réception des frais de formation ( 240€ par secrétaire)


 

 

 

Formation "Initiation à la maîtrise de stage" Les jeudi 6 et vendredi 7 novembre A Ploermel (56)

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INVITATION



Formation "Initiation à la maîtrise de stage" images-copie-9.jpeg



Les jeudi 6 et vendredi 7 novembre


A Ploermel (56)  - Hôtel du Roi Arthur

 

 

Organisateur: Pascal Lamy
Expert: Albert Ouazana

 

Cette formation, hors quota de formations OGDPC,

s'adresse aux médecins généralistes  qui hésitent encore à devenir MSU (Maître de Stage Universitaire) autant qu'à ceux qui viennent de commencer.


          Cependant les maîtres de stage plus expérimentés, qui pourront partager leur expérience, sont les bienvenus.


          Au cours de ces deux journées nous verrons comment acquérir les éléments conceptuels, théoriques, administratifs et pratiques nécessaires à la maîtrise de stage ambulatoire en 3ème cycle de médecine générale

Et notamment savoir:


*Définir le rôle d’enseignant de l’ECA ( Enseignant Clinicien Ambulatoire) MSU et sa place au sein du Département de Médecine Générale


*Connaître le cadre légal et réglementaire des stages ambulatoires en Médecine Générale


*Identifier les compétences professionnelles à construire par l’interne


*Expliquer le montage pédagogique et les différentes phases du stage : observation, supervisions directe et indirecte


*Organiser de manière pertinente le premier contact avec l’étudiant


*Réunir les conditions favorables à l’accueil de l’étudiant


*Gérer la relation triangulaire ECA MSU-étudiant-patient


*Définir la notion de modèle d’enseignant et intégrer le «rôle de modèle»


*Inciter l’étudiant à utiliser des outils d’observation de la consultation


*Utiliser des outils de supervision de l’interne


*Mettre en oeuvre une rétroaction efficace


*Effectuer une prescription pédagogique pertinente


*Evaluer le résultat de la prescription pédagogique pour les différentes compétences


*Connaître les modalités pratiques de la maîtrise de stage dans la faculté loco régionale

 

 

Pour s'inscrire,

il suffit d'adresser un mail paskal.lamy@gmail.com
ou à la secretaire: secrétariat.lamy.baudry@gmail.com


Nous vous indiquerons alors la marche à suivre.

A bientôt,

Pascal Lamy
Président  APEMEG
DMG de Rennes - Faculté de Médecine

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Des lots du vaccin contre le méningocoque C Meningitec sont rappelés par précaution

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Des lots du vaccin contre le méningocoque C Meningitec sont rappelés par précaution

       L'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (Ansm) et le "Centre Spécialités pharmaceutiques" (CSP), viennent d'annoncer le rappel de tous les lots actuellement sur le marché du vaccin Meningitec en Europe.  Unknown-copie-11.jpeg

          Meningitec est un vaccin indiqué pour prévenir les infections invasives dues à la bactérie Neisseria meningitidis (ou méningocoque) du sérogroupe C. Ces infections, qui peuvent être des septicémies ou des méningites, sont particulièrement graves, mortelles dans 15 à 20 % des cas ou responsables de séquelles neurologiques et d'amputations des extrémités.

En France, la vaccination contre ces infections est recommandée pour toutes les personnes âgées de 1 à 24 ans révolus.

          Le vaccin Meningitec du laboratoire Nuron est exploité en France par le laboratoire CSP. Le laboratoire Nuron vient d'informer les autorités européennes de la présence de particules dans un nombre limité de seringues de certains lots de Meningitec.

           En l'état actuel des investigations, la présence de ces particules n'affecte pas la stérilité de ces produits et ne compromet pas l'efficacité du vaccin. Il n'est donc pas nécessaire d'effectuer une revaccination.

           En raison de ce défaut de qualité, le laboratoire CSP, exploitant de cette spécialité en France, a entrepris, en lien avec le laboratoire Nuron, le rappel de tous les lots actuellement commercialisés en France. Un rappel similaire est organisé à l'échelle européenne. La liste des lots concernés est indiquée ci-dessous.

          L'Ansm précise que ce rappel de lots est effectué à titre de précaution. La présence de ces particules pourrait en effet induire des réactions locales (rougeurs ou gonflement au site d'injection), voire des effets généraux (fièvre).

          L'apparition de ces effets indésirables surviendrait dans les premières heures ou jours après la vaccination. Il est à noter que ces effets sont semblables à ceux que pourraient produire le vaccin.

           Cependant, à ce jour, aucune déclaration d'effet indésirable liée à ce défaut de qualité n'a été signalée au laboratoire ou à l'Ansm. L'alerte a été diffusée à l'ensemble des professionnels de santé (pharmaciens et médecins des secteurs hospitalier et privé). L'Agence recommande aux médecins, si un patient se présente avec un vaccin concerné par le rappel, de le rapporter à son pharmacien. Une ligne d'information médicale dédiée aux pharmaciens et aux médecins a d'autre part été mise en place par le laboratoire CSP : 01.47.04.04.31.

          Il existe deux autres vaccins disponibles pouvant être utilisés à la place du vaccin Meningitec, les vaccins Menjugatekit et Neisvac.

          L'Ansm, en lien avec le laboratoire CSP, se mobilise pour garantir la résolution de ce défaut de qualité et pour assurer le retour à un approvisionnement normal par ce laboratoire.

          Les personnes ayant été vaccinées avec une dose appartenant à l'un des lots précisés ci-dessous peuvent obtenir des informations complémentaires auprès de leur médecin, infirmier ou pharmacien.

          Le lot du vaccin est généralement inscrit sur le carnet de vaccination remis à la personne ou sur les pages vaccinations du carnet de santé, ou encore dans le carnet de vaccination électronique de MesVaccins.net, pour ceux qui l'ont créé.

Références

1. Point d'information du 25 septembre 2014 de l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé sur le retrait de lots du vaccin contre le méningocoque C Meningitec.

2. Point d'information du 26 septembre 2014 de l'Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé sur le retrait de lots à type de précaution du vaccin contre le méningocoque C Meningitec.

3. Liste des lots rappelés (la date de péremption est mentionnée entre parenthèses).

LotG76688 (septembre 2014).
LotG80916 (septembre 2014).
LotG96210 (septembre 2014).
LotG96221 (septembre 2014).
LotG97607 (septembre 2014).
LotH25992 (septembre 2014).
LotH25993 (septembre 2014).
LotH25994 (septembre 2014).
LotH25995 (novembre 2014).
LotH31320 (novembre 2014).
LotH52324 (juin 2015).
LotH59032 (juin 2014).
LotH59035 (juin 2015).
LotH62941 (février 2015).
LotH62959 (février 2015).
LotH91914 (février 2014).
LotJ13265 (février 2014).
LotJ13266 (février 2015).
LotJ13267 (février 2015).
LotJ13268 (juin 2015).
LotJ13270 (septembre 2015).

Au nom du CNOM, son Président s'adresse à tous les médecins et au Gouvernement

Samedi 8 Novembre 2014 : Formation MédiStory à Ploërmel

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SAMEDI 8 Novembre 2014

Formation MédiStory

Structurer son dossier médical

afin de permettre sa consultation  

 en dehors du cabinet

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ROI ARTHUR - 56 _PLOERMEL - centre Bretagne

UNE  journée - 9 h 00  à 18 h 00

    

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recueils des données

(profil,biométrie,alertes,courriers,ordonnances .....) 

pour alimenter une synthèse ( Cald-Plan de soins.....)

pour récupération à distance .......

 

Expert : Gilles GUILLON 

 


CONDITIONS D'INSCRIPTION            LOGO-CMSB-copie-1.jpg


-une feuille de soins papier barrée   

 
-une copie de l'attestation URSSAF de paiement pour le FAF-PM 2013


à Courrieller à : medistorybretagne@gmail.com

 

-un chéque de caution de 150 €


à adresser à

Club MédiStory Breizh
12 Rue Andre Souquet
22690 PLEUDIHEN SUR RANCE

 

nombre de places limitées

 


 

 

Jeudi 20 Novembre 2014 à DINAN en soirée DPC indemnisé :HTA résistante

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HTA résistante ins_card.jpg

que faire ?



   20 % de la population française présente une hypertension artérielle dépistée et traitée.


Mais le contrôle de la pression artérielle n'est satisfaisant que pour la moitié des hypertendus traités et 5 à 20 % des patients échappent à leur traitement.


Or toute élévation de la pression artérielle est associée à une augmentation de la mortalité par cardiopathie ischémique ou par accident vasculaire cérébral.

Ces patients doivent donc être identifiés afin que des mesures hygénio-diététiques soient prises et que les comorbidités soient traitées. 

 


Action organisée à Dinan

la soirée du  jeudi 20 Novembre 2014

 

Diner 19h30-20h30

 

réunion 20h30-23h00

 


expert : Dr Thierry DENOLLE - Cardiologue DINARD

 

Objectifs de la formation :


Identifier au cabinet une HTA résistante en réanalysant le traitement, l'observance et l'auto mesure
Rechercher les causes d'une HTA résistante
En organiser la prise en charge




Indemnisation :

L'action est indemnisée 517,50 €

L'indemnisation prend en compte le travail préparatoire et consécutif à cette action.

 

GG-2014-01-18-a-13.58.46.jpginscription cliquez

INSCRIPTION  CLIQUEZ

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friction hydro-alccolique des mains pour prévenir la diarrhée du voyageur

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La friction hydro-alccolique des mains pour prévenir la diarrhée du voyageur

 

          Dans le cadre de conseils aux voyageurs, la friction hydro-alcoolique des mains est généralement recommandée par les autorités sanitaires pour la réduction du risque de diarrhées liées aux voyages (1). En effet, suivant des conditions et la durée de séjour, le risque de diarrhées survient chez 20 à 50 % des voyageurs internationaux se rendant dans des régions à faible niveau d'hygiène.

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         De nombreuses études ont évalué le rôle de la consommation d'aliments contaminés ou d'eau non potable dans la survenue de diarrhées.`


 Or l'efficacité sur le terrain de l'utilisation de gels hydro-alcooliques n'avait pas été mesurée.

 

          Celle-ci vient d'être documentée par une équipe française de Marseille, qui a publié les résultats d'une étude évaluant l'intérêt de la friction hydro-alcoolique des mains dans la prévention de la diarrhée des voyageurs (2).


        Deux cents personnes, pour la plupart des touristes de retour d'un séjour dans un pays en voie de développement, ont été interrogées à l'aéroport lors de leur retour en France. La moyenne d'âge de ces voyageurs était de 58 ans et ils avaient séjourné en moyenne 21 jours à l'étranger.

Environ un tiers d'entre eux (32,5 %) ont déclaré avoir utilisé des gels hydro-alcooliques par friction des mains au cours de leur séjour.

Les voyageurs étaient à jour de la vaccination contre l'hépatite A dans 30 % des cas et de la vaccination contre la fièvre typhoïde dans 10 % des cas.

Le pourcentage de l'ensemble des voyageurs rapportant au moins un épisode de diarrhée ou de vomissement au cours de leur séjour était de 25 %.  

 

Cependant, la fréquence des diarrhées était moins grande parmi les voyageurs ayant utilisé un gel hydro-alcoolique (17 %), par comparaison avec le groupe de ceux n'y ayant pas eu recours (30 %).


     En revanche, le respect de mesures d'hygiène standard (lavage des mains avant les repas) ou le suivi de règles alimentaires (éviter de consommer des légumes et fruits crus non pelés, boire de l'eau non embouteillée) n'était pas associée à une diminution de la fréquence des diarrhées.

Aucune différence n'a été observée suivant le statut vaccinal des voyageurs vis-à-vis de l'hépatite A et de la fièvre typhoïde..


        Des études complémentaires (en dehors de l'étude présentée ici) ont montré que la friction des mains avec un gel hydro-alcoolique permettait de réduire le manu-portage des rotavirus et d'Escherichia coli, agents infectieux responsables d'un grand nombre de gastroentérites aiguës.

 


Au total, les gels hydro-alcooliques sont des produits facilement utilisables par leur disponibilité, leur conditionnement, leur profil de tolérance.

Bien que la quantité de gel et le nombre de frictions hydro-alcooliques des mains n'aient pas été pris en compte, cette étude montre qu'il s'agit d'une pratique efficace pour prévenir les diarrhées du voyageur et incite à promouvoir leur utilisation en médecine des voyages.

 


Références 

1. Recommandations sanitaires pour les voyageurs 2014. BEH N° 16-17, 3 juin 2014. 

2. Henriey D, Delmont J, Gautret P. Does the use of alcohol-based hand gel sanitizer reduce travellers' diarrhea and gastrointestinal upset ? A preliminary survey. Travel Medicine and Infectious Disease 2014.

 


source

Lien : http://www.ncbi.nlm.nih.gov/pubmed/25065273


La colère des médecins monte ! Stop à la manipulation politique !

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explication démocratique....

 


 

Maladie à virus Ebola : informations à destination des professionnels de santé

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En situation d’épidémie dans une zone géographique identifiée (jusqu’à ce jour toutes les épidémies ont eu lieu en Afrique), le risque de survenue, en France, d’un cas importé maladie à virus Ebola devenant symptomatique dans les 3 semaines qui suivent le retour est jugé faible mais ne peut être totalement exclu.

L’existence d’une épidémie dans une zone géographique identifiée ne doit pas faire oublier que d’autres pathologies infectieuses fébriles peuvent se déclarer au retour avec une probabilité supérieure à celle de la maladie à virus Ebola.

 

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Actualisé le 3 octobre 2014

Clinique 

 

La durée d’incubation de la maladie à virus Ebola varie entre 2 et 21 jours.

Dans la forme habituelle, la maladie débute brutalement par un syndrome pseudo-grippal (fièvre, myalgies, arthralgies, céphalées) et une profonde asthénie psychomotrice. En 3-4 jours, apparaissent d’autres signes cliniques, cutanéo-muqueux (conjonctivite, exanthème maculeux ou maculo-papuleux, dysphagie) et digestifs (diarrhée, vomissements).

L’évolution initiale peut être continue avec une altération progressive de l’état général(asthénie croissante, fièvre persistante, perte de poids) ou biphasique avec un intervalle libre de quelques jours au cours duquel l’état général s’améliore et la fièvre disparaît.

La phase terminale est marquée par des signes neur ologiques d’encéphalite (de l’obnubilation au coma, agitation, épilepsie) et des signes hémorragiques (principalement saignements aux points de ponction, gingivorragies, hématémèse, mélaena, selles sanglantes ; plus rarement épistaxis, hémoptysie, hémorragie génitale ou hématome).

On peut observer plus inconstamment hoquet, paresthésies, acouphènes, trismus, hépatomégalie, splénomégalie, pancréatite, uvéite, parotidite, orchite, et douleur thoracique.

Dans les formes hémorragiques, le décès survient dans 80 % des cas en moyenne 8 jours après l’apparition de la fièvre. Sinon la guérison est sans séquelle mais la convalescence est longue avec une asthénie prolongée pendant plusieurs semaines et des arthralgies fluctuantes et migratrices

Le virus Ebola se transmet d’homme à homme par :

    contact direct avec le sang ou les fluides biologiques tels les larmes, la salive, le lait maternel, le sperme, la sueur, les selles et les vomissements des personnes infectées. 

    par exposition directe à des objets (comme de s aiguilles souillées) qui ont été contaminés par les sécrétions de patients. 

Le groupe des personnels de santé prenant en charge les malades et le personnel de laboratoire est donc un groupe particulièrement à risque.

La transmission peut aussi se produire par contact avec des animaux morts ou vivants comme par exemple les singes, les chimpanzés, les antilopes et les chauves-souris des zones forestières affectées. Le virus peut aussi se transmettre au contact du corps d’une personne infectée lors de la cérémonie funéraire.

La transmission par voie aérienne n’a jamais été documentée lors d’une épidémie chez l’homme, mais ce risque ne peut être exclu lors des manœuvres de soins de patients générant des aérosols.


Diagnostic biologique 

 

La confirmation du diagnostic repose sur des  analyses biologiques réalisées par le Centre national de référence (CNR) :

    ELISA IgM et IgG

    PCR

    Isolement viral

Les prélèvements visant à la confirmation du diagnostic doivent être adressés au CNR, avec son accord, dans des conditions de transport sécurisées de niveau P4.

    CNR des fièvres hémorragiques virales


Prise en charge de la maladie à virus Ebola en France 

  

Concernant la France, le scénario envisageable, à ce stade, est celui d’un cas importé avec un risque nosocomial majeur en établissement de santé. L’évitement de ce risque implique 4 conditions suivantes :

    1. Une détection précoce : déclaration  directe de tout cas suspect auprès du Centre 15. (message d’information aux passagers en provenance directe de la zone à risque).

    2. Des précautions maximales doivent être mises en œuvre par les professionnels de santé lors de la prise en charge du cas (précautions de type « air » et « contact » avec des mesures barrières renforcées).

Recommandations à l’attention des professionnels de santé exerçant en ambulatoire pour l’abord d’un patient cas suspect de maladie à virus Ebola (oct 2014)

(PDF - 307.3 ko)

    3. Les services d’accueil d’urgence mettent en place une affiche d’information auprès de l’infirmière d’accueil et d’orientation (IAO) afin que toute personne répondant à la définition du cas suspect se déclare dès son arrivée (arrivée inopinée et non régulée par le Centre 15).

    4. Aucun rapatriement sanitaire ne peut se faire directement entre la société de rapatriement et un établissement de santé (circulaire n°DGS/DUS/CORRUSS/2012/188 du 9 mai 2012).

La prise en charge repose sur les recommandations du Haut Conseil de la santé publique (HCSP) :

    Avis du HCSP du 10 avril 2014 :  Conduite à tenir autour des cas suspects de fièvre hémorragique à virus Ebola ;

    Avis du HCSP du 10 septembre 2014 relatif à la conduite à tenir autour des cas suspects de maladie Ebola : données complémentaires à l’avis du HCSP du 10 avril 2014.


Elle est organisée de la manière suivante :


A. Pour les personnes asymptomatiques de retour de la zone à risque :

La personne surveille quotidiennement sa température. Toute fièvre supérieure ou égale à 38°C doit être considérée comme cas suspect et la personne doit se signaler au Centre 15.

Aucune mesure d’éviction n’est requise.

Dans le cas où une personne serait considérée comme ayant eu un risque de transmission particulièrement élevé, cette surveillance doit être accompagnée d’une prise de contact avec le médecin infectiologue de l’établissement de santé de référence de la zone de défense.


B. Pour les patients symptomatiques :

Tout cas suspect doit se signaler au Centre 15. Il doit être classé (exclu ou possible) le plus tôt possible par un contact entre le Centre 15, l’InVS et l’ARS selon la définition de cas.

Dans cette situation, la prise en charge d’un cas suspect, d’autant plus qu’il existe des signes de gravité, doit prendre en compte un diagnostic de pathologies tropicales endémiques de la zone à risque ou d’autres maladies cosmopolites (avis HCSP).

Les conditions de prise en charge ainsi que les précautions à prendre sont décrites dans l’avis du HSCP. 


Pour les cas possibles cette prise en charge doit s’effectuer dans l’établissement de santé de référence de la zone de défense (service de maladie infectieuse et tropicale) ou dans un autre établissement de santé disposant de capacités opérationnelles de prise en charge Ebola. Le transfert du cas doit s’effectuer par la régulation du SAMU-Centre 15 en mettant en œuvre les mesures d’hygiène décrites dans l’avis de l’HCSP. Toute hospitalisation d’un cas suspect ou possible doit conduire à la mobilisation de l’équipe opérationnelle d’hygiène de l’établissement.

Les Agences régionales de santé (ARS) ont mené des évaluations sur site pour identifier les établissements de santé, dont les établissements de santé de référence (ESR) et autres établissement de santé, qui disposent des capacités opérationnelles pour accueillir un malade atteint par le virus Ebola.


Ces établissements disposent d’équipements spécifiques pour faire face à des situations sanitaires exceptionnelles, en particulier :

    un service de maladies infectieuses doté de chambres d’isolement à pression négative ;

    un service de réanimation doté de chambres d’isolement ;

    un service de médecine nucléaire ;

    un laboratoire d’un niveau de confinement L3 ; 

    une aire permettant de poser un hélicoptère.

Liste des établissements de santé de référence habilités (ESRH) pour la prise en charge des patients cas possibles ou confirmés de maladie à virus Ebola (actualisée au 25 septembre 2014)

(PDF - 307.3 ko)


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Situations non régulées :

Si un cas suspect se déclare en dehors du schéma de régulation, la conduite à tenir est la suivante (dans l’attente d’une régulation avec le Centre 15) :

    concernant le cas suspect : lui mettre un masque chirurgical, l’isoler, ne faire aucun acte (y compris glycémie capillaire, prélèvement de gorge, etc.), éviter tout contact avec les liquides biologiques, frictionner les mains avec des solutions hydro-alcooliques ;

    concernant la personne qui s’en occupe : a minima gants, masque chirurgical, frictionner les mains avec des solutions hydro-alcooliques ;

    concernant l’entourage du cas suspect : relever les coordonnées des personnes ayant eu un contact étroit avec le sang ou tout autre fluide biologique ;

    obtenir le plus rapidement possible une régulation médicale via le Centre 15 : la conduite à tenir sera alors précisée.


Réalisation des examens biologiques :

Le diagnostic de maladie à virus Ebola relève de l’expertise du Centre National de Référence de très haut niveau de sécurité (P4). Tout autre examen biologique réalisé sur un cas suspect, possible ou confirmé doit être réalisé dans un laboratoire L3. Les examens biologiques, les actes invasifs doivent être limités au strict nécessaire. Les DASRI lié à un cas confirmé doivent être inactivés avant leur élimination (avec de l’eau de Javel) ou autoclavés. L’incinération de ces DASRI est obligatoire.

Veille et surveillance de la maladie à virus Ebola en France 

 

C’est une maladie à déclaration obligatoire : tout cas suspect doit être signalé sans délai et par tous moyens au Centre 15 et à l’ARS.


Mesures de prévention et d’hygiène - Prise en charge 

 

    HCSP

    Société de Pathologie Infectieuse de Langue Française (SPILF)

    Société Française d’Hygiène Hospitalière (SF2H)

Documents de référence 

 

    « Rapid risk assessment » de l’ECDC (03/09/2014)

    OMS

    CDC

    Définition de cas de l’InVS.

    Recommandations à l’attention des professionnels de santé exerçant en ambulatoire pour l’abord d’un patient cas suspect de maladie à virus Ebola (oct 2014)
(PDF - 307.3 ko)

Sites utiles 

 

    Haut Conseil de la santé publique

    Institut de Veille Sanitaire

    Organisation Mondiale de la Santé

European Centre for Disease prevention and Control

Demande d'accord préalable: rosuvastatine et ezétimibe......

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Contexte juridique de la DAP

 

" Base législative: article L. 315-2 du Code de la Sécurité Sociale

 

Le bénéfice de certaines prestations mentionnées au 1 de l'article L. 315-1 peut être subordonné à l'accord préalable du service du contrôle médical. Cet accord préalable peut être exigé pour les prestations dont:

 

" la nécessité doit être appréciée au regard d'indications déterminées ou de conditions particulières d'ordre médical;

 

" la justification, du fait de leur caractère innovant ou des risques encourus par le bénéficiaire, doit être préalablement vérifiée eu égard notamment à l'état du bénéficiaire et aux alternatives thérapeutiques possibles;

 

" le caractère particulièrement coûteux doit faire l'objet d'un suivi particulier afin d'en évaluer l'impact sur les dépenses de l'assurance maladie ou de l'Etat en ce qui concerne les prestations servies en application des articles L. 251-2 et L. 254-1 du code de l'action sociale et des familles.

 

" Il est précisé lors de la prise en charge des prestations mentionnées au 1 de l'article L. 315-1 que leur bénéfice est, le cas échéant, subordonné à l'accord préalable mentionné ci-dessus.

 

Les conditions d'application des alinéas précédents sont fixées par décision du collège des directeurs de l'Union nationale des caisses d'assurance maladie.

 

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Le suivi des avis rendus

 

o Notification à l'assuré:

La CPAM notifie uniquement les refus de prise en charge

 

o dans les 15 jours suivant la DAP via le téléservice

o dans les 15 jours suivant la réception par le service médical de la DAP

 

o Information du prescripteur en cas de refus de prise en charge:

 

o Si DAP via le téléservice : par le téléservice lui-même (immédiat)

o Si DAP papier, par un courrier du Service médical

 

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TELECHARGER LE DOCUMENT CERFA

 

 

VITAMINE K1 ROCHE 2 mg/0,2 ml NOURRISSONS : un nouveau schéma posologique réduit à 3 doses

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VITAMINE K1 ROCHE 2 mg/0,2 ml NOURRISSONS : un nouveau schéma posologique réduit à 3 doses

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Le schéma posologique d'administration de la vitamine K1 chez le nouveau-né est modifié.

 

Chez le nourrisson né à terme, sans risque particulier et allaité exclusivement, ce schéma est réduit à 3 doses, administrées par voie orale le premier jour, au cours de la première semaine et 1 mois après la naissance.

 

La posologie recommandée dans le cadre de la prévention de la maladie hémorragique, par voie injectable, pour les nourrissons nés à terme mais à risque et pour les nouveau-nés prématurés est également modifiée, comme précisé dans notre article ci-dessous.

Le schéma posologique d'administration de la vitamine K1 dans le cadre de la prévention de la maladie hémorragique chez le nouveau-né a été modifié suite à une procédure européenne d'harmonisation des posologies.

 

Un schéma simplifié chez le nouveau-né né à terme

Chez le nouveau-né à terme, en bonne santé, sans risque particulier, et recevant un allaitement maternel exclusif, l'administration de VITAMINE K1 ROCHE 2 mg/0,2 ml NOURRISSONS par voie orale suit désormais le schéma suivant

  • la 1ère dose est maintenue le 1erjour
  • la 2ème dose est maintenue au cours de la 1èresemaine, mais entre le 4ème et le 7ème jour, 
  • la 3ème dose est recommandée 1 mois après la naissance. Pour les nouveau-nés nourris exclusivement au lait artificiel, la troisième dose peut être omise. 

Ce nouveau schéma posologique à 3 doses remplace le schéma posologique qui était recommandé jusqu'à présent. Il n'est donc plus nécessaire d'administrer 1 dose de 2 mg par semaine jusqu'à la fin de l'allaitement maternel exclusif

 

Une administration par voie intra-musculaire (IM) peut aussi être envisagée, en dose unique de 1 mg de vitamine K1 à la naissance ou peu après.

 

Cas particuliers : administration par voie injectable

Les changements de posologie concernent également la prévention de la maladie hémorragique pour les nouveau-nés à terme mais à risque, et les nouveau-nés prématurés.

La vitamine K1 est administrée par voie injectable (IM ou IV) selon le schéma suivant : 

 

A la naissance ou peu après

Première semaine et premier mois après la naissance

Nouveau-nés prématurés

(< 36 semaines de gestation)

pesant 2,5 kg ou plus

 

Nouveau-nés à terme mais à risque (asphyxie à la naissance, ictère rétentionnel, incapacité à avaler, utilisation d'anticoagulants ou d'antiépileptiques chez les mères)

Voie IM ou IV : 1 mg

La quantité et la fréquence des doses ultérieures sont déterminées en fonction des paramètres de la coagulation

Nouveau-nés prématurés

(< 36 semaines de gestation)

pesant moins de 2,5 kg 

Voie IM ou IV : 0,4mg/kg. Cette dose ne doit pas être dépassée.

La quantité et la fréquence des doses ultérieures sont déterminées en fonction des paramètres de la coagulation.

 

Pour mémoire

VITAMINE K1 ROCHE 2 mg/0,2 ml NOURRISSONS solutions buvable et injectable est indiqué dans le traitement et la prophylaxie de la maladie hémorragique du nouveau-né.

 

Pour aller plus loin

Communiqué : Vitamine K1 Roche 2 mg/0,2 ml Nourrissons solution buvable et injectable : Modifications du schéma posologique (ANSM, 19 septembre 2014)

Lettre du laboratoire Roche aux médecins généralistes, pédiatres, pharmaciens d'officine et hospitaliers, maternités et médecins de PMI (sur le site de l'ANSM, septembre 2014)

 


"humour fiction" : Les mutuelles flingueuses.....La délégation des tâches

Site sur les certificats médicaux..

Soirées ciné-débat sur la prévention du suicide

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          A travers ces soirées, il s’agit de pouvoir échanger ouvertement sur la prévention du suicide, de sensibiliser l’ensemble des personnes à ces questions (idées reçues et représentations, facteurs de risques et signes d’alerte)

 

et de permettre à tout à chacun de connaître les lieux où trouver de l’aide en la matière sur le Pays de Dinan.


Les séances auront lieu :


-       Le jeudi 6 novembre 2014 à 20h, au Cinéma « Vers le large » (4 route de Dinard) à Dinan


-       Le jeudi 20 novembre 2014 à 20h, au Cinéma « Eden » (5 rue de la Vallée de Besnault) à Saint Cast Le Guildo


-       Le jeudi 4 décembre 2014 à 20h, à l’Amphithéâtre du Lycée agricole de Caulnes (Route de Dinan)

 

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Des formations ont pour objectif de doter des groupes pluridisciplinaires d’acteurs locaux de connaissances et d’outils pour améliorer le repérage et l’orientation des personnes en souffrance.


         Ces formations s’inscrivent dans le cadre des formations dites « Terra/Séguin » et sont dispensées par des binômes de formateurs agréés.

        Chaque session se déroulent sur deux jours et une demi-journée de bilan est proposée à distance (entre deux et six mois plus tard).

          L’accès à ces formations est gratuit pour les bénéficiaires, seul le repas est à la charge des participants.

            Les groupes sont composés de 12 à 15 personnes.

 

télécharger la plaquette :   Plaquette Formation Suicide 2015 Pays de Dinan

 



Jeudi 20 Novembre 2014 à DINAN en soirée DPC indemnisé :HTA résistante

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que faire ?



   20 % de la population française présente une hypertension artérielle dépistée et traitée.


Mais le contrôle de la pression artérielle n'est satisfaisant que pour la moitié des hypertendus traités et 5 à 20 % des patients échappent à leur traitement.


Or toute élévation de la pression artérielle est associée à une augmentation de la mortalité par cardiopathie ischémique ou par accident vasculaire cérébral.

Ces patients doivent donc être identifiés afin que des mesures hygénio-diététiques soient prises et que les comorbidités soient traitées. 

 


Action organisée à Dinan

la soirée du  jeudi 20 Novembre 2014

 

Diner 19h30-20h30

 

réunion 20h30-23h00

 


expert : Dr Thierry DENOLLE - Cardiologue DINARD

 

Objectifs de la formation :


Identifier au cabinet une HTA résistante en réanalysant le traitement, l'observance et l'auto mesure
Rechercher les causes d'une HTA résistante
En organiser la prise en charge




Indemnisation :

L'action est indemnisée 517,50 €

L'indemnisation prend en compte le travail préparatoire et consécutif à cette action.

 

GG-2014-01-18-a-13.58.46.jpginscription cliquez

INSCRIPTION  CLIQUEZ

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Samedi 8 Novembre 2014 : Formation MédiStory à Ploërmel

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SAMEDI 8 Novembre 2014

Formation MédiStory

Structurer son dossier médical

afin de permettre sa consultation  

 en dehors du cabinet

logo-MS-formation-FAF-copie-2.jpg

 

ROI ARTHUR - 56 _PLOERMEL - centre Bretagne

UNE  journée - 9 h 00  à 18 h 00

    

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recueils des données

(profil,biométrie,alertes,courriers,ordonnances .....) 

pour alimenter une synthèse ( Cald-Plan de soins.....)

pour récupération à distance .......

 

Expert : Gilles GUILLON 

 


CONDITIONS D'INSCRIPTION            LOGO-CMSB-copie-1.jpg


-une feuille de soins papier barrée   

 
-une copie de l'attestation URSSAF de paiement pour le FAF-PM 2013


à Courrieller à : medistorybretagne@gmail.com

 

-un chéque de caution de 150 €


à adresser à

Club MédiStory Breizh
12 Rue Andre Souquet
22690 PLEUDIHEN SUR RANCE

 

nombre de places limitées

 


 

 

Kystes du rein : classification & &CAT

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Kystes du rein

 

 

L’imagerie permet de classifier les kystes du rein

 

            Il faut distinguer le kyste solitaire ou simple du rein, des nombreuses affections kystiques héréditaires ou acquises et notamment la polykystose rénale.


Le kyste simple du rein


           Le kyste simple est une lésion acquise du rein très banale, puisque près de 50% des patients en seraient porteurs au-delà de 50 ans.


Leur formation serait favorisée par une obstruction tubulaire et/ou par certaines anomalies des fibres du collagène et d’élastine des parois des tubules rénaux.


Dans la très grande majorité des cas, les kystes du rein sont asymptomatiques et découverts à l’occasion d’un examen d’imagerie. Très exceptionnellement, les complications aiguës ou subaiguës peuvent permettre d’en découvrir l’existence : infections, hémorragies ou ruptures. Les compressions font exceptionnellement l’objet de symptômes, même pour des kystes volumineux.


L’imagerie permettra de poser le diagnostic de kyste simple. La tomodensitométrie (TDM) est l’examen de référence, mais l’IRM peut jouer un rôle essentiel dans la caractérisation des kystes atypiques.


Circonstances de découverte


         C’est lors d’une échographie que le kyste est le plus souvent découvert de façon fortuite. L’échographie peut être suffisante pour le caractériser.


        Si tous les critères suivant sont réunis : forme arrondie et ovoïde avec paroi non visible et des limites parfaitement visibles sur toute sa périphérie et un contenu strictement anéchogène et homogène, on peut affirmer sa bénignité. Dans ce cas, il n’est pas utile d’effectuer d’autres examens.


En revanche, si tel n’est pas le cas, il peut être utile de demander une TDM ou une IRM.

 

Classification en 5 catégories


L’analyse d’une lésion kystique en TDM repose sur la classification de Bosniak.

Elle permet de distinguer 5 grandes catégories :


   type I : kyste typique homogène hydrique sans rehaussement de la paroi ni cloison (cf fig)

   type II : une à deux cloisons fines sans rehaussement

   type IIF : quelques cloisons fines éventuellement une calcification sans rehaussement

   type III : nombreuses cloisons épaisses avec des calcifications irrégulières et un rehaussement de la paroi ou des cloisons

   type IV : paroi épaisse irrégulière avec nodule intramural, rehaussement important de la paroi et des végétations


Conduite à tenir


Si le type I est typiquement bénin, le type IV est typiquement malin.


   Classiquement, les types I et II ne doivent pas faire l’objet de surveillance. 

   Le type IIF nécessite de mettre en place une surveillance régulière. 

   Le type III et IV doivent être opérés par un urologue. 

           Si la tomodensitométrie n’est pas suffisante, il faut alors demander une IRM, voire une échographie avec injection de produit de contraste.


          Devant un kyste typique même volumineux, si les examens d’imagerie permettent d’affirmer qu’il s’agit d’un kyste de type I ou II, il n’est pas utile de faire des examens de surveillance et le patient peut être rassuré.

 

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source: http://urofrance.org/index.php?id=925

DPC : trop c'est trop !

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Communiqué commun des syndicats représentatifs de médecins 

 

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DPC : trop c'est trop !

 

Tout le monde le sait, le dispositif de DPC en l'état actuel n'est pas viable, ni au plan financier, ni au plan organisationnel, ni au plan de sa finalité même !

 

Et maintenant, l'État veut imposer des changements drastiques d'accès à la formation plutôt que d'ouvrir la concertation promise pour fixer les règles à venir. Ainsi, deux arrêtés ministériels donnent les pleins pouvoirs à l'OGDPC pour modifier les règles de fonctionnement du DPC pour la fin de l'année 2014.

 

Pour nous, médecins, c'est « mettre un mauvais pansement sur une plaie suppurante ».

 

Nous, représentants des syndicats représentatifs des médecins :

 

- Nous refusons catégoriquement tout changement de règles pour la fin 2014, et appelons tous les autres syndicats professionnels à refuser de cautionner cette mesure au sein du conseil de gestion de l'OGDPC.

 

- Nous exigeons l'ouverture d'une concertation immédiate, promise depuis des mois pour faire évoluer le dispositif, sur les bases des propositions constructives faites par les professionnels de santé en s'appuyant sur les standards européens des besoins de formation.

 

- Nous dénonçons un système marchandisé, éminemment contestable, qui permet à des organismes validés administrativement, de bénéficier de fonds publics sans aucune évaluation ni aucun contrôle qualitatif suffisant, ni à priori, ni à posteriori.

 

L'État a mis en place ce dispositif lourd avec une gestion inutilement technocratique, sans tenir compte des signaux d'alertes émis depuis des mois par les représentants des professions de santé. Il doit en assurer la survie à court terme et donner les moyens de sa nécessaire évolution à travers une concertation urgente mainte fois promise par la Ministre.

 

Nous appelons tous les professionnels de santé à s'élever fermement

contre la destruction programmée de leur dispositif de formation.

Réagissez ! reactiondpc@gmail.com

 

 

 

Contacts Presse

 

CSMF : Jean-Paul Ortiz, Président - jp.ortiz@csmf.org

FMF : Jean-Paul Hamon, Président - jp.hamon.dr@wanadoo.fr

MG France : Claude Leicher, Président - c.leicher@medsyn.fr

SML : Roger Rua, Président - rogerrua@hotmail.com

 

OGDPC .. nouvelle mesure ce soir 16/10/2014 minuit .....

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Madame, Monsieur,

Afin de permettre à chaque professionnel de santé de répondre à son obligation annuelle, il a été décidé de limiter la prise en charge des programmes de DPC à compter du 17 octobre 2014 (soit ce soir 00h00),  

à l'exception des formations de formateur et maitrise de stage.

·        • Si vous avez déjà validé votre obligation annuelle de DPC en 2014 :

o pour toute inscription réalisée avant le 17 octobre 2014, même pour des programmes débutant après cette date, vous serez bien pris en charge dans les conditions prévues et la limite de votre enveloppe annuelle ;

o toute nouvelle inscription réalisée à partir du 17 octobre 2014, sera soumise à la limitation mise en place.

·        • Si vous n’avez pas encore validé votre obligation annuelle de DPC en 2014 :


o à compter du 17 octobre 2014, vous pouvez toujours vous inscrire par le biais de votre espace personnalisé sur www.mondpc.fr.



En pratique, si vous avez dépassé le nombre de programmes autorisés, vous verrez alors apparaître en bas de votre écran lors de la recherche d’un programme, le message suivant : « Vous ne pouvez pas vous inscrire à cette session. Vous avez dépassé la limite du nombre d'inscriptions pour l'année 2014 ».

Bon à savoir : seule l’inscription réalisée par le professionnel (ou la validation par ce dernier de son inscription si celle-ci est réalisée par l’organisme) confirme la prise en charge par l’OGDPC si elle doit avoir lieu.   



• Pour tout problème technique rencontré sur www.ogdpc.fr :
- vous pouvez nous adresser un courriel à dpc.hotline@ogdpc.fr
- ou nous appeler au 01.76.21.59.00 du lundi au jeudi de 9h à 12h30 et de 13h30 à 17h30, et le vendredi de 9h à 12h30 et de 13h30 à 16h30.

• Pour toute question relative au dispositif de DPC, sa mise en place et à l'OGDPC :
- vous pouvez nous adresser un courriel à infodpc@ogdpc.fr
- ou nous appeler au 01.48.76.19.05 du lundi au jeudi de 9h à 12h30 et de 14h à 16h30, et le vendredi de 9h à 12h30.

Nous vous prions d'agréer, Madame, Monsieur, l'expression de nos salutations distinguées.

L'équipe OGDPC

 

source:  https://www.ogdpc.fr/public/medias/ogdpc/pdf/CP/CP_OGDPC_17oct2014.pdf

 

 

 

         Compte tenu de la dynamique des inscriptions des professionnels de santé à un programme de DPC en 2014 (18000 inscriptions par mois en moyenne, avec 24 000 inscriptions au mois de  septembre), le Conseil de Gestion de l’OGDPC, composé des représentants de l’Etat et de l’Assurance Maladie d’une part et des professionnels de santé d’autre part, met en place une nouvelle mesure à compter du 17 octobre.


        Seule la première inscription réalisée (hors formations de formateur et maîtrise de stage) sera prise en charge à partir du 17 octobre 2014, afin de permettre à chaque professionnel de santé (éligible au financement par l’OGDPC), qui le souhaite, de répondre à son obligation annuelle.

          De plus, pour soutenir les professionnels de santé dans leur démarche, il a été également voté un budget rectificatif qui a augmenté le budget initial 2014 de 13 millions d’euros.

Ces mesures témoignent de la volonté de l’ensemble des acteurs du DPC de répondre au haut niveau d’engagement des professionnels de santé dans ce dispositif.


Les professionnels de santé concernés par cette mesure 

Dans le cadre de ses missions, l’OGDPC prend en charge uniquement les professionnels de santé libéraux et salariés exerçant en centres de santé conventionnés chirurgiens-dentistes, infirmiers, masseurs-kinésithérapeutes,médecins, orthophonistes, orthoptistes, pédicures-podologues, pharmaciens et sages-femmes.

Les professionnels de santé s’étant inscrit avant le 17 octobre 2014, à un ou plusieurs programmes de DPC, seront bien pris en charge pour l’ensemble de leurs inscriptions dans la limite de leur enveloppe annuelle.

 

 

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