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Enseignement de la bureautique informatisée ... Thèse

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Enseignement de la bureautique informatisée


au Département de Médecine Générale de Rennes:


Besoins des internes et des jeunes remplaçants et

modalités d’acquisition des compétences actuelles et futures.

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 THESE :  présentée par   Julien WATTEZ

Thèse soutenue à RENNES le 16 octobre 2014  images-copie-10.jpeg 

 

 

 

devant le jury composé de :  

Professeur Gérard Chalès  PU-PH / président


Professeur Marc Cuggia  PU-PH / Juge


Professeur Patrick Jego  PU-PH / Juge


Docteur Françoise Tattevin-Fablet  MCU / Juge


Docteur Pascal Le Houerou  Médecin généraliste / Membre invité

Docteur Gérard Hamonic  Médecin généraliste / directeur de thèse

 

VI. Conclusion  

          Le médecin généraliste n’exerce pas seul, il génère des données susceptibles d’être partagées avec les autres professionnels de santé. Ce sont des médecins, paramédicaux, caisses d’assurance maladie, établissements de santé, mais également des internes et des médecins remplaçants.  

          La prise en charge pluridisciplinaire a pour but d’améliorer le système de soins en diminuant les erreurs de prise en charge et offrir les soins les plus adaptés à chaque patient. Cette amélioration passe par une informatisation des cabinets médicaux de soins primaires. Cette informatisation a permis en partie de rationaliser les prises en charge, en aidant à l’organisation des dossiers patients, en diminuant les erreurs de prescription, en accélérant les remboursements des prestations de soins et en diminuant le coût du traitement de celle-ci. Mais elle n’est pas encore complète et si elle a permis de diminuer certaines difficultés lors de la pratique, elle a créé de nouvelles difficultés. Les internes et les jeunes remplaçants ne sont pas informaticiens mais se confrontent au quotidien à ce système qui demande de plus en plus de compétences.

          Il est donc important qu’un enseignement les aide à appréhender les difficultés rencontrées, autant au cours des remplacements en médecine générale que lors de l’installation en cabinet médical. Cet enseignement doit concilier les recommandations de bonne pratique des sociétés savantes, et les besoins exprimés par la population-cible, qui ne sont pas forcément les mêmes. Elle doit prendre en compte également le fait que les modes d’exercice de la médecine sont différents, que ce soit entre les médecins eux-mêmes, entre les médecins installés et les remplaçants et entre les remplaçants et les internes.

          L’étude montre que les difficultés rencontrées sont plus liées à un manque de formation, qu’à une fonction que les internes et les jeunes remplaçants jugeraient inutiles. Il reste tout de même un pourcentage non négligeable des répondants qui ne voient pas l’utilité de certaines fonctions malgré leur utilité potentielle, et c’est pourquoi il faut prendre en compte pour la promotion de la bureautique informatisée ces fonctions, pour qu’ils puissent choisir de façon éclairée. Il existe actuellement des difficultés également spécifiques à la pratique du remplacement, comme le fait de travailler dans des cabinets différents, avec potentiellement des logiciels différents et pratiques différentes, des cabinets seuls ou en groupe, avec une secrétaire sur place ou non. D’autre spécificités sont à prendre en compte comme le fait de travailler avec un logiciel qui ne prend pas en compte le fait qu’il ne puisse pas être utilisé par quelqu’un d’autre que le médecin qui l’a installé, les cartes CPS non utilisables pour le remplaçant thésé, ou non existante pour le remplaçant non thésé ou l’interne.

           Les besoins exprimés concernent toutes les composantes du logiciel de cabinet médical et particulièrement les fonctions les moins utilisées comme la saisie du diagnostic avec les modules d’aide à la saisie, les alarmes de suivi, les modules spécifiques comme ceux de la vaccination et la gynécologie. Si l’utilisation du dossier médical patient informatisé est effective, son intérêt n’est pas complètement perçu par l’ensemble des répondants. La prescription est utilisée pour les médicaments et la biologie, mais pas toujours pour les paramédicaux et le matériel médical. L’intégration des documents externes, que ce soit images ou photographiques ou autres n’est pas toujours utilisés. Leur intérêt est validé, en vue d’un échange avec les autres professionnels, mais les logiciels pour les échanges les règles juridiques de la transmission de données sécurisées ne sont ne sont pas toujours connus. Un enseignement sur la cotation des actes complexes est également demandé. Enfin, les connaissances dans la sauvegarde sont parfois parcellaires et notamment sur les modes de sauvegarde existant, la réalisation d’une sauvegarde et sa récupération.

          Il est donc nécessaire de proposer un enseignement. Celui-ci a un préalable lié à la diversité des environnements de travail rencontré en médecine, avec une proportion non négligeable d’utilisation du système MacOS ®, autant par les étudiants que les médecins généralistes. C’est un enseignement spécifiquement axé sur les systèmes d’exploitation et leurs spécificités, ainsi que les logiciels de bureautique, en début d’internat, qui pourrait être couplé à l’enseignement de l’informatique utile à la recherche médicale en médecine générale.

          L’enseignement de la bureautique informatisée elle-même doit s’inspirer de la pratique du Département de Médecine Générale de Rennes, c'est-à-dire des travaux dirigés avec enseignant par petits groupes d’entre vingt et trente personnes, c’est d’ailleurs la formule la plus suivie au Département de Médecine Générale de Rennes. Il devrait plutôt se faire en fin de cursus de médecine générale, en tout cas après une découverte préliminaire du cabinet de médecine générale. Cela nécessite une salle informatique avec un poste par étudiant, avec si possible un serveur pour faciliter le déploiement des machines virtuelles comprenant les six ou sept logiciels les plus utilisés. Une ou deux bases médicamenteuses doivent être installés. Il pourrait être intéressant de pouvoir intégrer un lecteur de carte vitale avec carte CPS et carte vitale, selon les moyens disponibles et ce que pourrait proposer la caisse primaire d’assurance maladie. Un périphérique d’intégration pourrait être proposé en fonction des moyens disponibles mais n’est pas indispensable, par contre il pourrait être intéressant de montrer l’utilisation en pratique des smartphones pour l’intégration des données dans les logiciels. Pour la simulation d’une sauvegarde, les disques durs des postes étudiants sont suffisants pour simuler une sauvegarde, la présentation des différents modes de sauvegarde est par contre nécessaire.

          Le contenu de la formation doit suivre les besoins exprimés des internes et des jeunes remplaçants, tout en prenant en compte les spécificités de la médecine générale comme la fonction de premier recours, l’approche globale du patient, la coordination des soins, la continuité des soins et les objectifs de santé publique. Cela passe aussi par une explication des mesures comme les Rémunération Par Objectifs de Santé Publique, le Dossier Médical Patient, le Codages des Actes Médicaux et une promotion de la recherche en Médecine Générale afin d’exploiter les données structurés générées par la pratique de la bureautique informatisée pour une amélioration des pratiques et une meilleure acceptation des mesures gouvernementales proposées.

          Enfin, d’autres domaines de l’informatique médicale comme la recherche bibliographique, la télétransmission, pourraient être évaluées pour savoir si elles s’intègreraient à un tel enseignement.

          Cet enseignement est adapté à un département de médecine générale, mais les remplaçants seraient intéressés pas une formation de ce type et cela leur serait utile en vue d’un choix de logiciel pour une installation, qui se passe en moyenne vers l’âge de 37 ans. Cette installation à lieu plusieurs années après la fin de l’internat en médecine générale, ce qui peut faire perdre le bénéfice de l’enseignement lors de l’internat. Ces formations pourraient entrer dans le cadre de la formation médicale continue ouverte aux remplaçants avec une budgétisation à prévoir avec l’organisme gestionnaire de développement médical continu, vu qu’il s’agit tout de même d’un objectif de santé publique. Cela peut être également discuté avec les représentants des médecins installés et remplaçants. L’un des intérêts de cette comparaison est la possibilité de comparer les logiciels entre eux en vue d’un choix objectif pour l’installation, il faut que cette formation soit indépendante des éditeurs afin de prévenir les conflits d’intérêts.

 

 


 

 

 

 


 

 

 

 

 


Projet de loi de santé, morceaux choisis .

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RASSEMBLER LES ACTEURS DE LA SANTÉ AUTOUR D'UNE STRATÉGIE PARTAGÉE
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HOSPITALISATION
"« Les lettres de liaison peuvent être dématérialisées. Elles sont alors déposées dans le dossier médical partagé du patient et envoyées par messagerie sécurisée aux praticiens concernés. » ; »

HÉBERGEURS
« Art. L. 1110-4-1. - Afin de garantir la qualité et la confidentialité des données de santé à caractère personnel et leur protection, les professionnels de santé, les établissements et services de santé, les hébergeurs de données de santé à caractère personnel, ou tout autre organisme participant à la prévention, aux soins, ou au suivi médico-social et social, utilisent, pour leur traitement, leur conservation sur support informatique et leur transmission par voie électronique, des systèmes d'information conformes aux référentiels d'interopérabilité et de sécurité élaborés par le groupement mentionné à l'article L. 1111-24. Ces référentiels sont approuvés par arrêté du ministre chargé de la santé pris après avis de la Commission nationale de l'informatique et des libertés. » ;

DMP (Partagé) = CNAMTS
« Afin de favoriser la prévention, la coordination, la qualité et la continuité des soins, les bénéficiaires de l'assurance maladie peuvent disposer, dans les conditions et sous les garanties prévues aux articles L. 1110-4 et L. 1110-4-1 et dans le respect du secret médical, d'un dossier médical partagé. Le dossier médical partagé est créé sous réserve du consentement exprès de la personne.
« La Caisse nationale de l'assurance maladie des travailleurs salariés assure la mise en œuvre du dossier médical partagé dans des conditions prévues par décret en Conseil d'État pris après avis de la Commission nationale de l'informatique et des libertés. » ;


CHAQUE ACTE DE SOINS EST REPORTÉ DANS LE DMP / CR HOSPITALISATION / SYNTHÈSE PÉRIODIQUE PAR LE MT
« Art. L. 1111-15. - Dans le respect des règles déontologiques qui lui sont applicables ainsi que des dispositions des articles L. 1110-4, L. 1110-4-1 et L. 1111-2, chaque professionnel de santé, quels que soient son mode et son lieu d'exercice, reporte dans le dossier médical partagé à l'occasion de chaque acte ou consultation, les éléments diagnostiques et thérapeutiques nécessaires à la coordination des soins de la personne prise en charge. A l'occasion du séjour d'un patient, les professionnels de santé habilités des établissements de santé reportent sur le dossier médical partagé, dans le respect des obligations définies par la Haute Autorité de santé, les principaux éléments résumés relatifs à ce séjour. Le médecin traitant désigné par le patient verse périodiquement une synthèse dont le contenu est défini par la Haute Autorité de santé.


FUSION HISTORIQUE DES REMBOURSEMENTS / DMP =

« Les données nécessaires à la coordination des soins issues des procédures de remboursement ou de prise en charge qui sont détenues par l'organisme dont relève chaque bénéficiaire de l'assurance maladie sont versées dans le dossier médical partagé.


LE MT À ACCÈS À LA TOTALITÉ DES INFORMATIONS MÊME MASQUÉES PAR LE PATIENT
« Le médecin traitant mentionné à l'article L. 162-5-3 du code de la sécurité sociale dispose en cette qualité, de droits d'accès au dossier médical partagé, lui permettant d'accéder, par dérogation aux dispositions du troisième alinéa de l'article L. 1111-15 du présent code, à l'ensemble des informations contenues dans ce dossier. » ;


ACCÈS PAR LE PATIENT / CITOYEN
« Art. L. 1111-19. - Le bénéficiaire accède directement, par voie électronique, au contenu de son dossier.

L’ASSURANCE MALADIE ENCADRE L’ACTE MÉDICAL =>
L'article L. 161-37 du code la sécurité sociale est ainsi modifié :
1° Après le 1°, il est inséré un 1° bis ainsi rédigé :
« 1° bis Élaborer ou mettre à jour des fiches sur le bon usage de certains médicaments permettant notamment de définir leur place dans la stratégie thérapeutique ; »
2° Le 2° est complété par une phrase ainsi rédigée : « Elle élabore ou valide également, dans des conditions définies par décret, un guide des stratégies diagnostiques et thérapeutiques les plus efficientes ainsi que des listes de médicaments à utiliser préférentiellement, à destination des professionnels de santé ; ».


TIERS PAYANT
« 7° Les modalités du tiers payant permettant de dispenser l'assuré social de payer directement aux professionnels de santé la part des honoraires prise en charge par l'assurance maladie. L'assuré qui se trouve dans l'une des situations prévues à l'avant-dernier alinéa de l'article L. 162-5-3 ne peut, sous réserve des dispositions du dernier alinéa du même article, bénéficier du tiers payant ;
« 8° Le cas échéant, les modalités permettant de dispenser l'assuré social de payer directement aux professionnels de santé la part des honoraires prise en charge par les organismes d'assurance maladie complémentaire, lorsqu'un mécanisme de tiers payant est mis en place par ces organismes ; »

 

source :

http://www.legifrance.gouv.fr/affichLoiPreparation.do?idDocument=JORFDOLE000029589477&type=contenu&id=2&typeLoi=proj&legislature=14

 

source du résume :Dr Alain Boutry

Vidéo du discours d'ouverture du Congrès de l'Ordre des médecins

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Congrès de l'Ordre des médecins 16 oct. 2014

Vidéo du discours d'ouverture du Dr P. Bouet, Pt du CNOM, en présence du Président de la République

 

 


 

Mercredi 19 Novembre 2014: Explorer le tube digestif BAS - soirée FMC DINAN....

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   Mercredi 19 Novembre 2014

 

 

les examens complémentaires du tube digestif ;

   

Aujourd’hui , j'explore le BAS :   

 

 

 

 

tests immunologiques,fréquence des coloscopies,

 

place de la vidéocapsule......

  

  

GG-2014-04-18-a-06.44.20.jpg

 

 

 

Dr VIDAL Hervé &  Dr DUFILHOL Cédric -

Gastro-entérologue -DINAN

 

Dr  VERNET  Camille -Gastro-Entérologue

HOPITAL DINAN & SAINT-MALO

 


 

Organisateurs : Jean-Louis CARRE-MG-

Xavier BARTHAS MG

 


 



LIEU                                     Hôtel BEST WESTERN

Port  de DINAN - 26 r Quai du Tallard - 22100  LANVALLAY

Tel 02 96 87 02 02 


La cotisation 2014 reste fixée à  30 euros  permet d'être membre et  d’assurer notre indépendance,

                  Vous devez l’adresser  au  Trésorier :  

                  Dr PERRON Jean-Jacques, 26 BIS BD ROUGERET - 22750 ST-JACUT

 



Modalités de participation 2014

  Si présence au  repas (19h30-20h30) inscription obligatoire  à 

fmcdinan@wanadoo.fr

 

 et Versement de 15 € lors de la présence au repas

 

Séance de FMC à 20h30 précises   LIEU

Logo-FMCDINAN.jpg


 

 

 



Mercredi 17 DECEMBRE          

Assemblée Générale


Janvier 2015         

MEDICAMENTS    cycle annuel de Pharmacovigilance depuis 2012

Que s'est-il passé en 2014, que se passera-t-il en  2015 ?


pour certaines soirées

Les médecins libéraux installés participants à cette réunion sont priés d'adresser ou apporter 

UNE  feuille de soins

et attestation de cotisation FAF à  URSSAFF 

  adressez les documents dés maintenant par couriel


 

rappel  de la charte

« La FMC DINAN fonctionne sur le principe de l’indépendance et de la transparence  dans le respect de l’éthique et des droits.
Les rapports avec tous ses partenaires respectent  ces exigences.

La FMC DINAN est indépendante de toute structure  syndicale, universitaire ou  commerciale –y compris dans son financement .

La FMC DINAN est indépendante des produits de santé pour son fonctionnement

et dans ses interventions.
Les intervenants se soumettent à la déclaration des conflits d’intérêts »

 


 Le Conseil d'Administration (élu pour une durée de trois ans-échéance fin 2014 )

  PRÉSIDENT                  Dr Gaetan LEGAILLARD -Généraliste

Vice-présidents            Dr Christian MICHELET -Généraliste
                                  Dr Jean-Pierre BOURGAULT -Gynéco-obstétricien 
                                   Dr  Anthony CHAPRON -médecin généraliste, chef de clinique universitaire
 
SECRÉTAIRE                 Dr Gérard HAMONIC -Généraliste
Secrétaire adjoint         Dr Jean-Marc LAINE -PH  Hopital DINAN
 
TRÉSORIER                  Dr Jean-Jacques PERRON -Généraliste
Trésorier adjoint          Dr Jean-François BOCQUET -orthopédiste-PolyclInique DINAN

 


 

Prévisions Dinan

Thèse:Impact de la polémique des pilules de troisième et quatrième générations sur la consultation pour contraception.

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Impact de la polémique des pilules de troisième et quatrième générations sur la consultation pour contraception.

 


 

Conclusion


          La polémique sur les pilules de 3ème et 4ème génération a ouvert un débat national sur la contraception. Si elle a déclenché une peur exagérée sur le court terme, les médecins interrogés en retiennent certains points positifs sur les échanges qu'ils ont eu avec leurs patientes, les questions et les recherches qu'ils ont effectuées sur la contraception.


          Les médecins se sont essentiellement tournés vers les autorités sanitaires pour leurs recherches, certaines questions ont trouvé des réponses tardives avec des directives jugées peu claires. Plusieurs médecins se sont sentis en difficulté par rapport aux contradictions des FMC et des autorités sanitaires quant à la conduite à tenir pour la prescription des pilules de 3ème génération. Ils évoquent un lobbying pharmaceutique dont le médecin doit rester indépendant.


          Cette polémique amène à réfléchir sur le danger de la banalisation de la prise des médicaments d'une façon générale, des produits de prévention ou « non curatif » en particulier comme la COC. La prescription pour les médicaments remboursés ou non, doit rester le garant de la sécurité d'utilisation.

Les médecins interrogés ont remis en question leur conduite de consultation pour contraception. Une consultation au moins annuelle dédiée à la contraception paraît importante, avec un interrogatoire détaillé et répété dans le temps. Les symptômes d'accident thrombo-embolique sont expliqués aux patientes en cas de CHC, tout en sachant que chaque contraception présente des risques et que la pilule reste un bon contraceptif pour de nombreuses femmes.


          Enfin, il semble nécessaire de prendre en compte l'influence de plus en plus importante des médias et des informations qu'en retiennent les patients. Cette évolution est à inclure dans notre démarche de prise de décision, en demandant aux patients ce qu'ils pensent de leur statut, ce qu'ils soupçonnent à partir de leurs symptômes. Dans cette étude, les médecins ont utilisé cette polémique comme outil pour sensibiliser les patientes aux facteurs de risques cardio-vasculaires, argumenter un changement de prescription.

Les informations trouvées dans les médias permettraient au patient selon de nombreuses études de mieux aborder et mieux comprendre leur prise en charge. Cet outil ne doit pas être ignoré mais être utilisé de façon optimale tant au niveau de la prévention, de l'éducation, de l'organisation de la santé publique... qu'à l'occasion de conflits, scandales sanitaires.


 

Cliquez sur l'image pour télécharger la thèse

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Pétition pour l'évolution du système de DPC ...

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DPC : Trop, c'est trop.  logo_college.jpg.png


          Depuis la loi HPST, les organisations professionnelles et scientifiques du Collège de la Médecine Générale dénoncent unanimement une situation du DPC aujourd'hui quasi établie : un système sans pilote, une gestion technocratique, un pillage par l'Etat des honoraires différés qui finançaient la FPC, la stratégie de vouloir le même régime de formation pour toutes les professions de santé. Tout a été dit et depuis longtemps et conduit à s'interroger sur des choix qui allient absence de stratégie politique, incohérences, voire stupidités. 


         Nous voilà maintenant au pied du mur : des décisions autoritaires, sans concertation, la mise en avant de prétextes économiques, la limitation à un forfait par an par médecin sur des thèmes imposés dans le strict cadre de la future loi Stratégie Nationale de Santé. 


         On est loin des huit jours par médecin de la FPC, on est loin de la recommandation européenne de 40 heures minimales de formation par an professionnelle. C'est ignorer les besoins des professionnels, c'est mépriser les besoins de santé de la population. 


          On est dans une logique comptable où l'Etat ne peut mettre dans la formation de ses médecins la moitié de ce que lui coûte le surcoût lié à l'usage de Lucentis versus l'Avastin!..

 


Deux ans pour tenter de faire fonctionner un système, deux heures pour choisir de le faire  disparaître

 

          Les syndicats représentatifs ont déjà dénoncé ce coup de force dans un communiqué commun.


          Les médecins et les organismes de formation ne doivent pas se décourager : la formation est un sujet trop important pour le laisser aux seuls technocrates de l'OGDPC.


          Nous devons continuer à nous battre avec détermination pour faire reconnaître nos droits légitimes à une formation indépendante tant des industries de la santé que de la maîtrise comptable des Caisses d'Assurance-Maladie.


 

En signant cette pétition, exigez avec nous :  images-copie-12.jpeg


1. L'ouverture immédiate de négociations sous forme d'un Grenelle du développement professionnel continu, 



2. Une gouvernance paritaire Etat/Représentants des médecins,



3. Un financement pérenne au niveau des standards européens,



4. Une définition paritaire des thèmes, des méthodes et des besoins.

 


 

 

 

 Signez la pétition

 

Mercredi 17 Décembre 2014 :AG de la FMC DINAN

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la prochaine Assemblée Générale ordinaire  aura lieu le 


th.jpegMERCREDI 17   Décembre 2014
à 20 heures précises
autour d'un dînerGG-2012-12-12-a-23.58.50.jpg
inscription obligatoire
Le lien  pour signaler ou  non
votre présence est  le suivant :
lieu  habituel des formations  : BEST  WESTERN -Lanvallay
Cette année , nous changeons le bureau

venez nous rejoindre

votre avenir vous appartient ........ 


Rapport de l'année :  Président

-Compte rendu de l'activité de l'année 2013 (Secrètaire)

-compte rendu financier de l'association (Trésorier)

-Quel avenir pour l'Association? Président - Secrétaire

*redéfinir le rôle de notre association

*définir des missions afin de faciliter les rencontres entres TOUS les professionnels de santé

 

*rapport avec autres associations

 

-Elections 

 

-Programme de l'année 2015 


-Questions Diverses

 

 

 

Le Conseil d'Administration (élu pour une durée de trois ans-  échéance fin 2014 ) 

PRÉSIDENT                  Dr Gaetan LEGAILLARD -Généraliste

Vice-présidents

Dr Christian MICHELET -Généraliste 

Dr Jean-Pierre BOURGAULT -Gynéco-obstétricien  

Dr  Anthony CHAPRON -médecin généraliste, chef de clinique universitaire 

 

SECRÉTAIRE                 Dr Gérard HAMONIC -Généraliste

Secrétaire adjoint      Dr Jean-Marc LAINE -PH  Hopital DINAN

 

TRÉSORIER                  Dr Jean-Jacques PERRON -Généraliste)

Trésorier adjoint        Dr Jean-François BOCQUET -orthopédiste-PolyclInique DINAN


                                                                                                                           Télécharger le pouvoir

 

 

 

    envoyer vos  propositions à   


  fmcdinan@wanadoo.fr

 


 

 

 PROPOSITIONS de sujets pour l'année 2015

 

si l'association perdure

 

 

* Pharmacovigilance..  ce qui  s'est  passé en 2014 .. ce qui  se passera en  2015


* Chirurgie Bariatrique ... et  si le succés dépendait  du médecin traitant

 

 *examens de Médecine Nucléaire et de leurs évolutions récentes:

TEP scan, Scinti scanner...
Dr Ludovic LE DORTZ - Centre d'Explorations Isotopiques CH Saint Malo
http://www.scintigraphie-tep.fr/

 

*Préparer sa "retraite" , la gestion du patrimoine, (Bosser... pourquoi?)

 

*

 

*



 

           Certaines soirées peuvent entrer dans le cadre des formations FAF-PM en collaboration avec les associations de formation qui le proposent au bureau de FCM DINAN


actuellement les associations retenues à ce jour sont:

 

      -fmcActioN Bretagne (représentant : Dr Gérard HAMONIC)

      -MGform Bretagne  (représentant : DrAnnie MEROT)

   tout autre membre de FMC DINAN , membre d'une aure association régionale est le bienvenu

 

les libéraux qui assistent aux formations doivent fournir :

-UNE  feuille de soins

-leur attestation de cotisation FAF à  URSSAFF pour l'année 2013

-et être à jour de sa cotisation 2014

 


La cotisation 2014 a été fixée à  30 euros   permet d'être membre et  d’assurer notre indépendance,

Vous devez l’adresser  au  Trésorier :   Dr PERRON Jean-Jacques , 26 BIS BD ROUGERET - 22750 ST-JACUT


 

  rappel  de la charte


« La FMC DINAN fonctionne sur le principe de lindépendance et de la transparence  dans le respect de l’éthique et des droits.
Les rapports avec tous ses partenaires respectent  ces exigences.


La FMC DINAN est indépendante de toute structure  syndicale, universitaire ou  commerciale –y compris dans son financement


La FMC DINAN est indépendante des produits de santé pour son fonctionnement et dans ses interventions.
Les intervenants se soumettent à la déclaration des conflits d’intérêts »

 

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LIEU                                     Hôtel BEST WESTERN

Port  de DINAN - 26 r Quai du Tallard - 22100  LANVALLAY

Tel 02 96 87 02 02 


La cotisation 2014 reste fixée à  30 euros  permet d'être membre et  d’assurer notre indépendance,

                  Vous devez l’adresser  au  Trésorier :  

                  Dr PERRON Jean-Jacques, 26 BIS BD ROUGERET - 22750 ST-JACUT

 



Modalités de participation 2014

  Si présence au  repas (19h30-20h30) inscription obligatoire  à 

fmcdinan@wanadoo.fr

 

 et Versement de 15 € lors de la présence au repas

 

Séance de FMC à 20h30 précises   LIEU

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Janvier 2015         

MEDICAMENTS    cycle annuel de Pharmacovigilance depuis 2012

Que s'est-il passé en 2014, que se passera-t-il en  2015 ?


pour certaines soirées

Les médecins libéraux installés participants à cette réunion sont priés d'adresser ou apporter 

UNE  feuille de soins

et attestation de cotisation FAF à  URSSAFF 

  adressez les documents dés maintenant par couriel


 

rappel  de la charte

« La FMC DINAN fonctionne sur le principe de l’indépendance et de la transparence  dans le respect de l’éthique et des droits.
Les rapports avec tous ses partenaires respectent  ces exigences.

La FMC DINAN est indépendante de toute structure  syndicale, universitaire ou  commerciale –y compris dans son financement .

La FMC DINAN est indépendante des produits de santé pour son fonctionnement

et dans ses interventions.
Les intervenants se soumettent à la déclaration des conflits d’intérêts »

 


 Le Conseil d'Administration (élu pour une durée de trois ans-échéance fin 2014 )

  PRÉSIDENT                  Dr Gaetan LEGAILLARD -Généraliste

Vice-présidents            Dr Christian MICHELET -Généraliste
                                  Dr Jean-Pierre BOURGAULT -Gynéco-obstétricien 
                                   Dr  Anthony CHAPRON -médecin généraliste, chef de clinique universitaire
 
SECRÉTAIRE                 Dr Gérard HAMONIC -Généraliste
Secrétaire adjoint         Dr Jean-Marc LAINE -PH  Hopital DINAN
 
TRÉSORIER                  Dr Jean-Jacques PERRON -Généraliste
Trésorier adjoint          Dr Jean-François BOCQUET -orthopédiste-PolyclInique DINAN

 


 

Prévisions Dinan

FMC DINAN 2014.. demandez le programme

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   Programme 2014Logo-FMCDINAN.jpg



 

 

 

 

 

 

 

 

 

 


 

   Mercredi 19 Novembre

 

 

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les examens complémentaires du tube digestif ;

   

 

 

Aujourd’hui , j'explore le BAS :   

  

 

  

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Dr VIDAL Hervé &  Dr DUFILHOL Cédric -

Gastro-entérologue -DINAN

 

Dr  VERNET  Camille -Gastro-Entérologue

HOPITAL DINAN & SAINT-MALO

 


 

Organisateurs : Jean-Louis CARRE-MG-

Xavier BARTHAS MG

 



  Mercredi 17 DECEMBRE 

Assemblée Générale

 

 


Janvier 2015medicaments.jpeg


MEDICAMENTS  

cycle annuel de Pharmacovigilance depuis 2012

Que s'est-il passé en 2014, que se passera-t-il en  2015 ?

 


Invitiés: Pharmaciens


Expert(s) : Pr Emmanuel  OGER - Pharmacovigilance (CHU RENNES)

Dr Elizabeth POLARD-RIOU - Pharmacovigilance (CHU RENNES)

Organisateurs : Gaétan LEGAILLARD-MG 

  Gérard HAMONIC –MG

 


  Programme 2014


 

Mardi 28 Janvier 2014medicaments.jpeg


MEDICAMENTS    

Que s'est-il passé en 2013, que se passera-t-il en  2014 ?

NACO , Gardasil ....la SAGA des Médias


Invitiés: Pharmaciens


Expert(s) : Pr Emmanuel  OGER - Pharmacovigilance (CHU RENNES)

Dr Elizabeth POLARD-RIOU - Pharmacovigilance (CHU RENNES)

Organisateurs : Gaétan LEGAILLARD-MG 

  Gérard HAMONIC –MG


 

Mercredi 26 février  2014Unknown-copie-12.jpeg


Ya t-il un intérêt à prescrire

une Électrophorèse des protides

en MG ?

 

Expert  : 

Dr Olivier Decaux (MCU-PH en med interne à l'hopital SUD RENNES)

  Invitiés: Biologistes

Organisateurs : Jean-Marc LAINE -Médecine Interne -

Anthony CHAPRON-MG Chef clinique M


image-aaser-green.jpeg    Mercredi 26 Mars 


Ma PROSTATE en 2014  

HBP et vapo laser ,

PSA pour qui ? pourquoi  ?....

les nouveaux marqueurs : ProPSA....  phyPSA.......


Expert(s) :

Dr EVENO-AUZANNEAU Charlotte-Urologue-DINAN

 

Organisateurs : Gérard HAMONIC –MG

Catherine TOUTAIN -MG

 


Jeudi 17 Avril imagegastroscopie.jpeg


les examens complémentaires du tube digestif ;  

Aujourd’hui, j'explore  le HAUT : 

 


Expert(s) :

Dr VIDAL Hervé &  Dr DUFILHOL Cédric - Gastro-entérologue -DINAN

Dr  VERNET  Camille -Gastro-Entérologue HOPITAL DINAN & SAINT-MALO

Organisateurs : Jean-Louis CARRE-MG-

Xavier BARTHAS MG

 


  Jeudi 22  Mai images-copie-6.jpeg


Antibiothérapie :


Pour qui ? Pour quoi ? Comment ?

 

expert :

Dr Mathieu DUPONT infectiologue CH ST MALO

Invitiés: Pharmaciens

Organisateurs : Jean-Jacques PERRON-MG-

Annie MEROT MG

 


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Mardi 10 Juin  

   

Urgences et actualités en Psychiatrie


  Centre Hospitalier Spécialisé :

une nuit au « Saint-Jean » 

 

Organisateurs : Anthony CHAPRON-Gérard HAMONIC

 


Jeudi 23 Octobre 


 

I S T  courantes


de la clinique aux traitements en passant par les sérologies


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La blennorragie gonococcique
Les chlamydioses
L'herpès génital
Les condylomes génitaux
Les infections par des mycoplasmes et la trichomonase ........



Expert(s) :Dr M.Christine LAURENT  - RENNES

 

OrganisateursJean-Pierre BOURGAULT-Gynéco

Jean-Louis BEDEL MG

 


 

La cotisation 2014 reste fixée à  30 euros  permet d'être membre et  d’assurer notre indépendance,

                  Vous devez l’adresser  au  Trésorier :  

                  Dr PERRON Jean-Jacques, 26 BIS BD ROUGERET - 22750 ST-JACUT

  


  Ce programme consultable sur le site www.fmcdinan.org est  adressé

- par courriel aux médecins ayant communiqué leur courriel à l’association : fmcdinan@wanadoo.fr

qrcode



Modalités de participation

  Si présence au  repas (19h30-20h30) inscription  à 

fmcdinan@wanadoo.fr

 

 et Versement de 15 € lors de la présence au repas

 

 

Séance de FMC à 20h30 précises   LIEU

 


Nous vous remercions de prévenir vos confrères ne possédant pas de courriels

 

 

Le Président                                                                                          Le Secrétaire

Gaétan LEGAILLARD                                                                             Gérard HAMONIC 

 


pour certaines soirées

Les médecins libéraux installés participants à cette réunion sont priés d'adresser ou apporter 

UNE  feuille de soins

et

attestation de cotisation FAF à  URSSAFF pour l'année 2011 ou 2012

 


rappel  de la charte

« La FMC DINAN fonctionne sur le principe de l’indépendance et de la transparence  dans le respect de l’éthique et des droits.
Les rapports avec tous ses partenaires respectent  ces exigences.

La FMC DINAN est indépendante de toute structure  syndicale, universitaire ou  commerciale –y compris dans son financement .

La FMC DINAN est indépendante des produits de santé pour son fonctionnement et dans ses interventions.
Les intervenants se soumettent à la déclaration des conflits d’intérêts »

 


 
Le Conseil d'Administration (élu pour une durée de trois ans-échéance fin 2014 )

 
PRÉSIDENT                  Dr Gaetan LEGAILLARD -Généraliste
Vice-présidents            Dr Christian MICHELET -Généraliste
                                  Dr Jean-Pierre BOURGAULT -Gynéco-obstétricien 
                                   Dr  Anthony CHAPRON -médecin généraliste, chef de clinique universitaire
 
SECRÉTAIRE                 Dr Gérard HAMONIC -Généraliste
Secrétaire adjoint         Dr Jean-Marc LAINE -PH  Hopital DINAN
 
TRÉSORIER                  Dr Jean-Jacques PERRON -Généraliste
Trésorier adjoint          Dr Jean-François BOCQUET -orthopédiste-PolyclInique DINAN

Prévisions Dinan

Thèse:Démarche éducative BPCO en médecine générale

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Démarche éducative en médecine générale chez 31 patients atteints de broncho-pneumopathie chronique obstructive (étude prospective DEMBO) : évaluation de l’intérêt et de la faisabilité

         L’étude DEMBO a montré qu’une démarche éducative est réalisable en médecine générale chez les patients atteints de BPCO. Le médecin généraliste par sa disponibilité, sa proximité géographique et relationnelle semble avoir une position privilégiée pour cela. Les pouvoirs publics en sont conscients et encouragent son implication dans le cadre d’une ETP auprès des patients atteints de maladies chroniques.


           Le manque de temps demeure le frein le plus important au développement de la pratique éducative dans les cabinets de médecine générale. Il est essentiel de trouver de nouveaux modes d’organisation et de financement pour contourner cet obstacle. La technique des micro-objectifs utilisée dans cette étude n’a pas permis de maîtriser ce problème. Il est possible que la population de patients atteints de BPCO, nécessitant un temps de consultation plus important, ait majoré cette difficulté.


           La formation courte réalisée auprès des médecins investigateurs a permis aux médecins d’appréhender leur posture éducative. Le développement de l’ETP passera par la formation initiale et continue des professionnels de santé en articulant des concepts théoriques et les mises en situation, ainsi que par la formation en inter-professionnalité.


          Cette étude a permis de mettre en évidence l’intérêt des patients comme des omnipraticiens pour l’éducation thérapeutique du patient. Dans notre étude, les médecins rapportent un bénéfice clinique chez les patients et un intérêt dans leur pratique. Ces bienfaits devraient permettre de surseoir aux contraintes engendrées par la pratique de l’ETP.


        Le support éducatif testé dans l’étude est apparu simple d’utilisation et utile pour mener une démarche éducative en soins primaires. Son format a probablement été à l’origine de l’oubli de certains patients. L’utilisation d’un support informatique ou d’un support au sein du DMP pourraient permettre d’éviter ces oublis. Quel que soit le support choisi, le support éducatif devra permettre l’interaction entre les professionnels de santé et le patient.


        Passer de l’expérimentation à la généralisation de ce type de démarche éducative va nécessiter une réorganisation des priorités et des ressources, au niveau de la formation et des rémunérations des professionnels concernés. Des études complémentaires permettraient d’apprécier ces priorités. Une durée de suivi plus longue et l’utilisation d’un groupe contrôle permettraient de juger de l’intérêt de cette démarche éducative. Repenser la démarche éducative non pas de manière spécifique à une maladie mais de manière transversale pourrait permettre de développer des compétences génériques chez les médecins généralistes, qui assurent le suivi au long cours des de patients poly- pathologiques et multi-morbides.

 


 

 

cliquez pour télécharger

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Certificat médical annuel du sportif : c'est terminé

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Certificat médical annuel du sportif : c'est terminé
 
L'idée est évoquée depuis plusieurs mois déjà. Hier, la suppression du certificat médical annuel du sportif a été présentée par Thierry Mandon lors du Conseil des ministres. Unknown-copie-14.jpeg

Cette mesure fait partie des 40 propositions du "choc de simplification".

          Le certificat médical, attestant de la bonne forme d’une personne, permet aux jeunes de pratiquer leur sport en club.

Le gouvernement propose de simplifier cette mesure.

S'il ne va pas disparaître, le certificat sera désormais valable plusieurs années.

La durée de validité du nouveau certificat n'a pas encore précisément été déterminée.

Elle devrait être de trois ans.

La mesure, qui devrait prendre effet dès septembre 2015 ne devrait pas concerner les disciplines extrêmes comme la boxe.

          Chaque année, 15 millions de certificats médicaux sont délivrés. Les médecins généralistes eux-mêmes reconnaissent des abus. "Il y a des certificats qu'on nous demande pour des activités qui ne demandent aucune capacité physique autre que celles de marcher ou de courir comme font les gens dans la vie de tous les jours", explique notamment Jacques Piéri, un généraliste interrogé par France 3.

             Valérie Fourneyron, ancienne ministre des sports a vivement défendu cette simplification. "C'est une mesure de bon sens: la simplicité et l'accessibilité au sport. Tous les parents ont ce souvenir de début d'année où il faut faire la course au certificat médical. Si on avait tout simplement sur le carnet de santé de l'enfant un certificat médical qui soit pour plusieurs sports. C'est une vision d'un sport outil de santé publique qui doit être accessible à tous", a-t-elle déclaré à RMC.

           Mais la mesure est loin de plaire à tous. La visite annuelle permettait en effet de ne pas se couper des patients peu habitués à fréquenter les cabinets médicaux.

Pour Jean Paul Hamon, président de la Fédération des médecins de France, interrogé par RMC, cela peut mettre en danger la santé des enfants : "Concernant les gamins, c'est une hérésie parce que le gamin change morphologiquement, il va peut-être aussi changer de sport, donc ne pas faire le même effort.

L'adulte va peut-être prendre du poids ou au contraire commencer un entraînement intensif.

Une visite annuelle c'est bien, une visite tous les trois ans, je trouve que c'est faire prendre des risques à la santé des gens."

[Avec Rmc.bfmtv.com et Francetvinfo.fr]

source

http://www.egora.fr/sante-societe/conditions-d’exercice/187072-certificat-medical-annuel-du-sportif-cest-termine


Lanvallay -Samedi 22 Novembre : Forum du Bien Vieillir

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Forum du Bien Vieillir

Des professionnels et des associations pour informer et proposer des services, matériels, solutions pour faciliter le bien vieillir en général. Conférence , Troubles du comportement et aide aux aidants. Ateliers d’échanges.

 

Salon-expo (salle des fêtes de Lanvallay) :
De 9h30 à 18h00 :

Des professionnels et des associations pour informer et proposer des services, matériels, solutions pour faciliter le "bien vieillir".


De 11h00 à 15h00 :

Atelier pratique "Prévention du vieillissement". Durée : 30 minutes. sur inscription, au forum.

Conférences et échanges (salle d’honneur de la Mairie) :
10h00 : Conférence :

Les maladies de la mémoire : quels symptômes ? Comment s’adapter ?


Après-midi : ateliers d’échanges


De 14h30 à 15h30 :

Quels soins et quels acteurs pour la prévention ?


De 16h30 à 17h30 :

Quelles aides humaines et techniques pour l’accompagnement au quotidien ?


 

Infos pratiques
 samedi 22 novembre 2014 de 09h30 à 18h00
 salle des fêtes 22100 Lanvallay
Tarif : Gratuit


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Démographie médicale de votre secteur ...

Données personnelles de santé et Open Data....

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“C'est quoi une donnée de santé personnelle ? 
” 

 

 

En l’absence de définition légale en France, on considère que ce sont toutes les données susceptibles de révéler la maladie d’une personne.

          

         Le projet de règlement européen sur la protection des données de santé est plus précis. Il considère que

         « toutes les informations relatives à la santé physique ou mentale d’une personne, ou à la prestation de services de santé à cette personne » constituent des données personnelles de santé.




 


     “Comment mes données de santé sont-elles protégées ?
” 

 

 

Les données de santé figurent parmi les données qu’il est strictement interdit de collecter ou de traiter sauf exceptions strictement définies (article 8 de la loi « Informatique et libertés »). Elles ne peuvent en aucun cas faire l’objet d’une cession ou d’une exploitation commerciale. Révéler des données de santé personnelles sans l’accord de la personne est passible de lourdes sanctions pénales (article 226-13 et articles 226-16 à 226-24 du code pénal) et de sanctions disciplinaires pour les professionnels de santé.




 



     “Quels sont mes droits sur mes données de santé ?
” 

 


Les professionnels de santé sont autorisés, sauf opposition de votre part, à partager vos données de santé pour assurer la continuité des soins ou pour déterminer la meilleure stratégie médicale possible. Ces échanges doivent être effectués dans des conditions qui en garantissent la confidentialité et la sécurité. Dans le cadre d’une équipe de soin, vos données sont réputées confiées à l’ensemble de l’équipe, sauf opposition nominale de votre part. Il existe aussi d’autres cas où vos données peuvent être communiquées :

          

         - Le code de la sécurité sociale prévoit que les professionnels de santé communiquent, sous forme nominative, aux organismes d’assurance maladie obligatoire, le code détaillé des actes et prestations effectuées.

         - Les professionnels de santé sont tenus de déclarer aux autorités sanitaires certaines maladies infectieuses qui nécessitent une intervention urgente (ex. : légionellose) ou dont la surveillance est nécessaire pour des raisons de santé publique.

         - La loi permet aux professionnels de santé de transmettre, après votre consentement, les données personnelles de santé qu’ils détiennent dans le cadre de recherches médicales. 




    

 “Quels conseils pour protéger mes données de santé dans un espace numérique non régulé (réseaux sociaux, internet, applis et objets connectés …) ?
” 

 

 

La Commission nationale de l’informatique et des libertés (Cnil) livre 5 conseils :

        

         - Utiliser un pseudonyme.

         - Ne pas automatiser le partage des données vers d’autres services (notamment vers les réseaux sociaux).

         - Ne partager les données qu’avec un cercle de confiance (en limitant l’accès au travers du réglage des paramètres de confidentialité lorsque cela est possible).

         - Effacer et/ou récupérer ses données lorsque le service n’est plus utilisé.

         - S’assurer de la fiabilité des informations fournies auprès d’un professionnel de santé en cas d’utilisation d’une application ou d’un capteur dédié à un usage médical ou présenté comme tel (outil de diagnostic, suivi de pathologie).

          

         En savoir plus:

                  http://www.cnil.fr/documentation/fiches-pratiques/fiche/article/communiquer-des-donnees-de-sante/

 

 

 


 

cliquez sur l'image


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Les observations du CNOM sur le projet de loi Santé

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LE CONSEIL NATIONAL DE L’ORDRE DES MEDECINS APPELLE


AU LANCEMENT D’UNE NOUVELLE CONCERTATION PUBLIQUE Unknown-copie-15.jpeg


AVANT L’INSCRIPTION DU PROJET DE LOI A L’ORDRE DU JOUR DU PARLEMENT

 

Paris le 13 novembre 2014 –Le Conseil national de l’ordre des médecins, après en avoir délibéré en session exceptionnelle le 6 novembre 2014, a confirmé à l’unanimité que le projet de loi santé n’était pas acceptable en l’état. Il regrette que le texte présenté n’apporte pas les réponses aux problèmes rencontrés par les médecins dans leur pratique, ni aux attentes des usagers dans les territoires, et propose une vision très administrative de l’organisation des soins


Le CNOM, qui déplore que le texte ne reprenne pas les éléments de la concertation initiale, demande à ce que le projet de loi fasse l’objet d’une nouvelle concertation avant d’être inscrit à l’ordre du jour des assemblées parlementaires. Cette concertation doit être menée rapidement entre les services du ministère de la Santé, les organisations professionnelles et ordinales des professions de santé, des établissements de santé et des établissements médico-sociaux et les usagers.


Patrick Bouet, Président du Conseil National de l’Ordre des Médecins souligne que le Conseil national considère que « Le système de santé et l’organisation des soins demandent aujourd’hui une réforme profonde. Si la stratégie nationale de santé, lancée par le gouvernement début 2013, promettait des avancées nécessaires, le résultat n’est pas à la hauteur des attentes. »
Le CNOM a formulé plusieurs observations sur le projet de loi (ci-dessous). Elles ont été traduites dans de très nombreuses propositions de rédaction concrètes d’amendements ou d’articles additionnels ayant pour objectif une réécriture du projet de loi. D’autres observations et propositions d’amendements ou articles additionnels suivront.


Les observations du CNOM sur le projet de loi Santé :


1. La politique nationale de santé doit garantir aux citoyens un égal accès aux soins, quels que soient leur lieu de résidence sur le territoire national et les ressources dont ils disposent. Les organismes gestionnaires des régimes d’assurance maladie qui concourent à la mise en oeuvre de la politique de santé définie par l’Etat doivent le faire dans le cadre conventionnel passé entre l’assurance maladie et les organisations professionnelles représentatives. Les dispositions de cette convention doivent s’appliquer sur l’ensemble des territoires de santé.


2. La qualité des services rendus et l’accès aux soins par bassin de vie et territoires de santé imposent que les secteurs de l’hospitalisation - qu’ils soient de droit privé ou de droit public – et le secteur de la médecine ambulatoire soient coordonnés et complémentaires. Cette coordination et cette complémentarité ne peut résulter que de l’analyse préalable des situations réelles. Cela est intrinsèquement contraire à une planification étatique prédéterminée de ce qui doit être.

3. La qualité de ces services, et le libre choix par les usagers des médecins et professionnels de santé, ne peuvent pas conduire à placer sur un territoire de santé le secteur de l’hospitalisation privée et l’exercice ambulatoire de la médecine libérale sous la tutelle purement administrative de l’ARS. Il suit de cela que le schéma régional de santé ne peut être arrêté sans la consultation publique préalable de leurs organisations représentatives.


4. De la même manière, en ce qui concerne les groupements hospitaliers de territoire et la gouvernance des établissements publics, en matière de soins aux populations, les médecins et professionnels de santé qui exercent dans ces établissements doivent être consultés en amont de la préparation des orientations envisagées par les chefs d’établissements et la direction de l’ARS.


5. La démocratie sanitaire ne doit pas être un vain mot quand il s’agit de la sécurité sanitaire et de l’équité dans l’accès aux soins. Elle doit se fonder sur la consultation obligatoire des organisations représentatives et ordinales des professionnels de santé et celles des usagers dans les décisions structurantes des directions des ARS.


6. La qualité de ces services impose également que les coeurs des métiers des médecins et ceux des autres professionnels de santé soient clairement identifiés par les usagers, non seulement dans le premier recours aux soins, mais également dans le second recours ainsi que dans l’assistance des professionnels des services médico-sociaux et sociaux à la bonne prise en charge des patients, des personnes âgées, de la dépendance et du handicap.


7. Les évolutions de pratiques professionnelles ne doivent pas conduire à transférer des actes médicaux vers d’autres professionnels sans une analyse soigneuse des conséquences que cela entraine. Au préalable, une concertation doit avoir lieu d’une part sur les référentiels métiers, seuls à même de stabiliser les cursus de formation diplômante, et d’autre part avec les organisations représentatives et ordinales des professions en raison des conséquences organisationnelles, économiques, juridiques et déontologiques que cela entrainerait.


8. La qualité de ces services impose de défendre l’indépendance éthique et déontologique des médecins et des autres professionnels de santé dans leurs exercices près des patients, quels que soient les secteurs de soins dans lesquels ils exercent. Elle impose également un droit à l’accompagnement des patients et au libre choix des usagers.


9. La qualité de ces services suppose que les médecins puissent se concentrer sur la pratique médicale diagnostique, thérapeutique, préventive et d’accompagnement. Un ensemble de tâches administratives, ou de contrôles, qui se sont accumulés autour de cette pratique doit être fondamentalement simplifié. De la même manière, le statut des médecins lorsqu’ils effectuent des missions de service public doit être précisé avec les protections sociales et juridiques qui doivent y être associées.

10. La qualité de ces services suppose que les modes de rémunération des médecins, de droit public ou privé, ne comportent pas d’exigences de rendement ni de soumission aux exigences des organismes payeurs. Cette position de l’Ordre national des médecins n’est pas contraire au versement des honoraires aux médecins libéraux par un tiers payeur, à la condition que ce mode de rémunération ne soit pas celui d’un assujettissement obligatoire, hormis les situations de dispense d’avance de frais pour des affections de longue durée, pour des bénéficiaires de droits sociaux, pour les soins relevant de l’urgence.


11. La qualité de ces services demande que le service public d’informations en santé prévu par le projet de loi soit un service transparent pour l’usager, qu’il informe sur la totalité des offres de soins ou de prise en charge médico-sociale sur les bassins de vie et territoires de santé, sans en privilégier aucune dans la présentation des informations.


12. La qualité de ces services impose que les informations nécessaires à la continuité des parcours de soins, tant dans les secteurs de l’hospitalisation que dans le secteur ambulatoire et entre ces deux secteurs, puissent être échangées ou partagées selon les cas entre les professionnels qui constituent d’une part l’équipe de soins et d’autre part l’équipe médico- sociale lorsque cela est nécessaire. Ces échanges et ces partages doivent, d’une part, respecter impérativement la volonté librement exprimée du patient et, d’autre part, garantir le caractère secret des informations qui ne doivent pas être accessibles en dehors de ces équipes de professionnels autorisés par le patient.


13. La démocratie sanitaire suppose, de surcroit, que les bases de données à partir desquelles peuvent être prises des décisions de politiques publiques puissent être rendues accessibles aux organisations représentatives dans une logique démocratique d’open data. Le potentiel de recherche en santé publique contenu dans ces bases doit également être facilité, sous les garanties de l’intérêt collectif et scientifique et les réserves attachées à la protection des citoyens lorsque ces données pourraient être directement ou indirectement nominatives. Une instance indépendante doit être qualifiée pour assurer cette gouvernance de l’open data. L’Institut des données de santé en représente une bonne configuration compte tenu de sa composition sous réserve de son élargissement.


14. Les moyens numériques mis à la disposition des usagers, des médecins et des professionnels de santé doivent garantir la protection de la stricte confidentialité des informations qu’ils véhiculent, qu’ils hébergent et auxquelles les personnes strictement habilitées par le patient peuvent avoir accès.


15. La loi doit affirmer dans un titre spécifique le renforcement de la prévention des conflits d’intérêt.

 

 

CONTACT PRESSE :
www.conseil-national.medecin.fr

EVELYNE ACCHIARDI – 01 53 89 32 80
13 NOVEMBRE 2014
PROJET DE LOI SANTE

 

source : http://www.conseil-national.medecin.fr/sites/default/files/cp_projet_loi_sante_13_nov.pdf

Pour percevoir votre rémunération ROSP en 2015

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 Pour percevoir votre rémunération en 2015, vous avez du 1er décembre 2014 au 31 janvier 2015 inclus pour :


- renseigner sur Espace Pro « Convention- Indicateurs de Santé Publique », les éléments concernant vos indicateurs d'organisation du cabinet et vos indicateurs de pratique clinique et, - adresser les justificatifs à votre caisse, si vous ne l'avez pas déjà fait en 2012 ou 2013,

Plus précisément, pour percevoir la rémunération liée à l'indicateur relatif à l'affichage des horaires dans le cabinet et sur ameli-direct.fr, il vous est nécessaire de renseigner vos horaires soit:


" sur Ameli-direct au plus tard le 31/12/2014. Pour cela, cliquez sur le lien présent dans la bannière Convention située en bas à droite de la page d'accueil du portail Espace pro;


" sur Espace Pro, rubrique « Activités> Pratiques> Convention - Indicateurs de Santé Publique », en cochant cet item si un affichage des horaires dans votre cabinet a été réalisée avant le 31/12/2014;


" en demandant à votre caisse de saisir cet indicateur au plus tard le 31/12/2014 si un affichage des horaires dans votre cabinet a été réalisée avant le 31/12/2014.



Médicaments hypnotiques : baisse du taux de remboursement à partir du 1er décembre 2014

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                       Cette baisse avait été récemment préconisée par la Commission de la transparence de la Haute Autorité de Santé (HAS) en raison d'"un intérêt thérapeutique limité de ces médicaments" et du constat d'un mésusage.

 


Une baisse de remboursement préconisée par la HAS    images-copie-13.jpeg
                         Cette mesure économique recommandée par la Commission de la transparence de la Haute Autorité de santé (HAS) en juillet dernier vise à diminuer le recours encore trop fréquent à cette catégorie de médicaments dont l'effet thérapeutique est jugé limité.

 

                "Au-delà de 28 jours, l'efficacité est incertaine, les risques d'effets délétères augmentent (somnolence diurne, troubles de la mémoire, chutes, accidents,…) ainsi que celui de dépendance", soulignait la HAS dans son communiqué.

Outre la baisse du taux de remboursement, la HAS a également recommandé de prescrire ces médicaments à la plus faible dose et pour la plus courte période possible, en seconde intention après échec des thérapies cognitivo-comportementales.

 

Voici les spécialités et leurs génériques concernées par cette baisse du taux de remboursement :
•    HAVLANE comprimé sécable (loprazolam) ;
•    IMOVANE 3,75 mg comprimé pelliculé, IMOVANE 7,5 mg comprimé pelliculé sécable (zopiclone) et génériques
•    NOCTAMIDE 1 et 2 mg comprimé sécable (lormétazépam) et génériques ;
•    MOGADON 5 mg comprimé sécable (nitrazépam) ;
•    NORMISON 10 et 20 mg comprimé (témazépam) ;
•    NUCTALON 2 mg comprimé (estazolam) ;
•    STILNOX 10 mg comprimé pelliculé sécable (zolpidem) et génériques.
Jusqu'à présent, la plupart de ces médicaments étaient remboursés au taux de 65 %.

 

En savoir plus :
Avis relatif à la décision de l'Union nationale des caisses d'assurance maladie portant fixation du taux de participation de l'assuré applicable à des spécialités pharmaceutiques (Journal officiel du 14 novembre 2014)
Prévalence et facteurs sociodémographiques associés à l'insomnie  et au temps de sommeil en France (15-85 ans), François Beck, Jean-Baptiste Richard et Damien Léger, enquête Baromètre santé 2010 de l'Inpes

source:

http://www.vidal.fr/actualites/14442/medicaments_hypnotiques_baisse_du_taux_de_remboursement_a_partir_du_1er_decembre_2014/

LA LOI SANTE 2015 …. "pour les nuls"

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LA LOI SANTE 2015 ….

 

Qu’est-ce que cache cette nouvelle loi santé?Unknown-copie-16.jpeg


 Le Tiers Payant Généralisé  généralisé est la mesure dont tout le monde parle mais c’est l’arbre qui cache la forêt.

 

          LE GRAND CHANGEMENT, c’est que l’état se place en garant de l’organisation et de l’accessibilité aux soins et donc se positionne comme responsable et unique décideur.

 

Comment ?

 

   Les ARS aux pouvoirs absolus

 

          Ce sont les ARS qui vont définir un schéma régional de Santé qui décide des besoins en implantation des professionnels de santédans chaque région  selon des objectifs chiffrés et fixés par le ministère, en relation avec les « organismes gestionnaires d’assurance maladie » (UNCAM et UNOCAM ?), notamment de réduction des dépenses et d’économie

 

          Ils imposeront alors cette répartition géographique des professionnels de santé par les autorisations d’activité qui seront octroyées ou renouvelées ou retirées selon leur bon vouloir, je cite : « ‘le directeur général de l’ARS peut subordonner l’attribution de subventions (...) ou subordonner une autorisation (...) à la participation du bénéficiaire au contrat territorial de santé. »

 

   Quid des libéraux ?

 

          Les nouveaux médecinsqui s’installeront se verront proposer de signer une contractualisation avec l’ARS et la CPAM avec des engagements individualisés de modalité d’exercice et de prescriptionsentre autres.

 

          Les lieux d’installationseront définis par les ARS.

 

          La permanence des soins va peu à peu devenir obligatoire dans le cadre de cette contractualisation.

 

          Le Tiers Payant Généralisé   (parts AMO ET AMC) sera mis en place, je rappelle qu’il coûtera environ 3,50 euros par consultation pour sa gestionce qui ramène le tarif de la CS de 23 à 19,50 euros, et que le règlement des consultations sera à la merci du bon vouloir et de la rapidité de traitement des caisses et des mutuelles.

 

          Les médecins libéraux se verront testés « en situation » au cours desquels de faux patients AME ou CMU iront les consulter pour juger de leur comportement: c’est l’observatoire de refus de soins.

          Ils devront appliquer les décisions des ARS et des tutelles pour leurs prescriptions, la récente mise en place de la demande d’entente préalable pour le Crestor et  l‘Inegy reflète ce qui sera notre pratique quotidienne de demain.

 

 

   Quid des établissements hospitaliers privés ?

          Les services hospitaliers et tous les établissements de santé privés associés comme établissements partenaires s’engagent à garantir dans toutes circonstances l’absence de facturation au patient de dépassements des tarifs fixés par l’autorité administrative : fin des dépassements d’honoraires à l’hôpital et dans les cliniques.

          Ils s’engagent  à respecter les mêmes contraintes que les établissements publics , entre autre : permanence des soins, délai de prise en charge « raisonnable », accès à des soins de qualité, transmission de leurs comptes d’exploitation aux ARS.

          Les établissements hospitaliers privés auront deux solutions : soit ils appliquent strictement ces mesures,  soit ils vont subir le retrait de l’autorisation de certaines de leurs activités (urgences, cancérologie, etc) ou le refus de leurs demandes en cas de réorganisation, transfert, accréditation du fait de leur refus de contractualisation.

 

   Quid de l’hôpital public ?

          Les chefs de pôle et chefs de service seront nommés par les ARS, le directeur d’établissement n’aura plus qu’un avis consultatif.

          Changement du statut de PH : contrat à durée déterminée uniquement, contrôle de leur activité libérale avec impossibilité de dépassements d’honoraires et testing, fin de  la liberté d’installation pour un PH souhaitant s’installer en libéral

 

   Quid des patients ?

            Les  patients...... seront soignés par des médecins aux ordres de l’administration et des financeurs et selon des protocoles préétablis. Ils seront obligés de souscrire aux nouveaux contrats de mutuelles de leur employeur qui va moins bien les rembourser (plafonnement des prises en charge mais pas des cotisations dans le cadre des contrats responsables, surfiscalité des contrats complémentaires dits de sur-complémentaires santé).

 

            Leur dossier médical sera accessible aux  services de facturation hospitaliers, aux CPAM et  à terme aux complémentaires.

 

Il faut rajouter à tout cela que dorénavant, les  négociations conventionnelles se feront uniquement dans un cadre prédéfini par le ministre de la Santé. 

 

 


Source

http://www.ufml.fr/80-articles-en-vedette-ufml/1355-loi-de-sante-2015-pour-les-nuls.html

Thèse:la prescription de médicaments en Médecine Générale

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Les patients attendent-ils une prescription de medicaments lorsqu'ils consultent leur medecin traitant ?

 

 

Il s'agit d'une question que tout medecin peut etre amene à se poser : connaître les attentes de ses patients permet d'une part, d'y apporter une reponse, d'autre part d'envisager des changements, notamment dans le contexte actuel de surprescription.


          Selon nous, il existe une attente reelle de prescription de medicaments de la part des patients et il y a à cela plusieurs raisons.


           Cela correspond à la representation de la maladie et donc de la medecine, qui se doit d'etre active voire curative.


          D'autre part, la prescription de medicaments a plusieurs significations dans la consultation. Outre sa fonction de guerison, elle permet de reconnaître la plainte, confere ainsi au patient le statut de malade et legitime sa venue en consultation.


          Mais la relation medecin-patient ne se resume pas à la prescription. Nous avons pu nous rendre compte de l'importance que revet le lien entretenu avec le medecin. Celui-ci n'est pas vu comme effecteur d'ordonnance mais comme le temoin d'une vie, le referent medical. Et cette relation a des vertus therapeutiques, elle rassure, elle peut meme guerir, c'est ce que le Dr Balint a appele le remede-medecin (46).


         D'autre part, les temoignages des participants mettent en evidence un besoin de reconnaissance de leur personne, une demande de consideration, au-delà de toute prescription. Ainsi, une attitude empathique, d'ecoute, centree sur le patient permet egalement de reconnaître la plainte, ce qui lui semble etre important.


         Nous en concluons donc qu'une relation medecin-patient de qualite peut avoir les memes fonctions qu'une prescription et peut meme remplacer la prescription de medicaments.


        Il convient neanmoins d'approfondir et de developper la notion de reconnaissance de la plainte à travers la relation medecin-patient afin de la mettre en pratique. Il est de toute façon important d'inclure le patient en tant que partenaire dans la recherche d'une efficience medicale car comme le dit A. Froment, cardiologue :
« C'est dans la subjectivite du soigne qu'est vecu le mal. C'est dans cette subjectivite que reside la culture ultime du soin (52). »

 

 

 

Téléchargez la thèse en cliquant sur l'image

 

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Information sur les antibiotiques :Préserver l’efficacité des antibiotiques

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  • Les antibiotiques n’agissent pas en cas de rhume ou de grippe

  • Prenez des antibio tiques de façon responsable et uniquement si votre médecin vous en prescrit

  • Préserver l’efficacité des antibiotiques re- lève de la responsabilité de chacun

 

          Lorsque vous recevez une ordonnance pour des antibiotiques, vous devez suivre les instructions du médecin, afin de minimiser le risque de développer des bactéries résistantes.

          Si vous ne suivez pas les instructions correctement, par exemple si vous raccourcissez la durée du traitement, si vous prenez une dose plus faible ou si vous ne prenez pas les antibiotiques aux intervalles de temps prescrits par votre médecin, des bactéries peuvent devenir résistantes aux antibiotiques.

          Les bactéries résistantes peuvent rester dans votre organisme et peuvent également être transmises à d’autres personnes. Cela peut faire courir le risque à vous-même et à d’autres personnes de ne plus ré- pondre aux antibiotiques la prochaine fois que vous en aurez besoin.

 

 

  • Suivez les conseils de votre médecin concernant le moment et la manière de prendre des antibiotiques

  • Ne réutilisez pas desa ntibiotiques qui vous ont été prescrits lors d’une maladie antérieure

  • Demandez à votre médecin ou à votre pharmacien comment vous débarrasser des antibiotiques dont vous n’avez plus besoin

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Un rhume? Une grippe?

 Soignez-vous, mais ne prenez pas d’antibiotiques!

Que faire si vous avez un rhume ou une grippe et que votre médecin ne vous prescrit pas d’antibiotiques?

  1. Reposez-vousetsoignez-vouspourallermieux

  2. Buvez beaucoup de liquide pour ne pas vous déshydrater

  3. Demandez à votre médecin des informations sur
    des traitements non antibiotiques pour soulager vos symptômes tels que nez bouché, maux de gorge, toux, etc.

Si vos symptômes ne s’améliorent pas dans le délai indiqué par votre médecin, ou s’ils s’aggravent, contac- tez votre médecin, car il est peut-être nécessaire de réévaluer votre état.

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http://ddata.over-blog.com/0/10/54/33/0104/Primary-care---Patient-Flyer_FRA.PDF

DIAGNOSTIC d'accessibilité.......

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Pour rappel, les cabinets médicaux ne sont plus classés en 5ème catégorie dès qu'ils accueillent plus de :


•    100 personnes, si ces cabinets médicaux n'assurent pas d'hébergement
•    20 personnes si ces établissements de soins hébergent leurs patients


A noter que ces seuils ne s'appliquent pas aux cabinets médicaux situés dans un centre commercial : la catégorie de l'ensemble du centre commercial est attribuée à ces cabinets médicaux, généralement la 1ère à la 4ème catégorie.

 

 

 DIAGNOSTIC

 

 

AVANT LE 27 SEPTEMBRE 2015, ENGAGEZ-VOUS POUR L'ACCESSIBILITÉ AVEC LES AGENDAS D'ACCESSIBILITÉ PROGRAMMÉE

 

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